Crist-Pantocrator.jpg

"Je vous donne un commandement nouveau : c'est de vous aimer les uns les autres.

 

Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres.

 

Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c'est l'amour que vous aurez les uns pour les autres."

 

Evangile de Jésus-Christ selon  saint Jean 

   

 

Pentecôte

" Le Défenseur, l'Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit."

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean  

 

   

 

 El Papa es argentino. Jorge Bergoglio                 

Saint Père François

 

 

La Manif Pour Tous 

La Manif Pour Tous photo C de Kermadec

La Manif Pour Tous Facebook 

 

 

Les Veilleurs Twitter 

Les Veilleurs

Les Veilleurs Facebook

 

 

 

papa%20GP%20II

1er mai 2011 Béatification de Jean-Paul II

Béatification du Serviteur de Dieu Jean-Paul II

 

 

  Béatification du Père Popieluszko

beatification Mass, in Warsaw, Poland

à Varsovie, 6 juin 2010, Dimanche du Corps et du Sang du Christ

 

 

presidential palace in Warsaw

Varsovie 2010

 

 

Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Sanctuaire de l'Adoration Eucharistique et de la Miséricorde Divine

La miséricorde de Dieu est comme un torrent débordé. Elle entraîne les cœurs sur son passage.
(Saint Curé d'Ars)
 

 


Le côté du Christ a été transpercé et tout le mystère de Dieu sort de là. C’est tout le mystère de Dieu qui aime, qui se livre jusqu’au bout, qui se donne jusqu’au bout. C’est le don le plus absolu qui soit. Le don du mystère trinitaire est le cœur ouvert. Ce n’est pas une image, c’est une réalité. C’est la réalité la plus profonde qui soit, la réalité de l’amour.
Père Marie-Joseph Le Guillou




Dans le cœur transpercé
de Jésus sont unis
le Royaume du Ciel
et la terre d'ici-bas
la source de la vie
pour nous se trouve là.

Ce cœur est cœur divin
Cœur de la Trinité
centre de convergence
de tous les cœur humains
il nous donne la vie
de la Divinité.


Sainte Thérèse Bénédicte de la Croix
(Edith Stein)



Le Sacré-Cœur représente toutes les puissances d'aimer, divines et humaines, qui sont en Notre-Seigneur.
Père Marie-Eugène de l'Enfant Jésus

 



feuille d'annonces de la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre

 

 

 

 

 

 

 

     

The Cambrai Madonna

Notre Dame de Grâce

Cathédrale de Cambrai

 

 

 

Cathédrale Notre Dame de Paris 

   

Ordinations du samedi 27 juin 2009 à Notre Dame de Paris


la vidéo sur KTO


Magnificat

     



Solennité de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie à Notre-Dame de Paris


NOTRE DAME DES VICTOIRES

Notre-Dame des Victoires




... ma vocation, enfin je l’ai trouvée, ma vocation, c’est l’Amour !

 

 

Rechercher

Voyages de Benoît XVI

 

SAINT PIERRE ET SAINT ANDRÉ

Saint Pierre et Saint André

 

BENOÎT XVI à CHYPRE 

 

Benedict XVI and Cypriot Archbishop Chrysostomos, Church of 

Salutation avec l'Archevêque Chrysostomos à l'église d' Agia Kyriaki Chrysopolitissa de Paphos, le vendredi 4 juin 2010

 

     

 

Benoît XVI en Terre Sainte  


 

Visite au chef de l'Etat, M. Shimon Peres
capt_51c4ca241.jpg

Visite au mémorial de la Shoah, Yad Vashem




 






Yahad-In Unum

   

Vicariat hébréhophone en Israël

 


 

Mgr Fouad Twal

Patriarcat latin de Jérusalem

 

               


Vierge de Vladimir  

Archives

    

 

SALVE REGINA

13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 08:00

s'écriait le prophète Zacharie cinq siècles avant la naissance de notre Emmanuel.

 

Le même cri respectueux s'échappe de nos cœurs, lorsque, contemplant la gloire inénarrable de Jésus ressuscité, nos regards rencontrent les plaies dont son corps tout radieux est marqué. Ses mains, ses pieds portent la trace des clous, son côté celle du coup de lance ; et ces plaies sont profondes comme elles l'étaient lorsqu'il fut descendu de la croix. "Enfonce ici ton doigt", dit-il à Thomas, en lui présentant ses mains : "mets ta main dans l'ouverture de mon a côté".

 

 Nous sortons de voir cette scène imposante où la vérité de la résurrection fut rendue plus sensible encore par l'incrédulité du disciple ; mais ce fait nous apprend en même temps que Jésus sortant du tombeau, huit jours auparavant, avait conservé sur sa chair glorifiée les stigmates de sa passion. Dès lors il devait les garder éternellement ; car aucun changement ne peut plus avoir lieu dans sa personne : il demeure ce qu'il est pour l'éternité. N'allons pas croire cependant que ces stigmates qui rappellent le Calvaire atténuent sa gloire en quoi que ce soit. S'il les conserve, c'est qu'il le veut ainsi ; et il le veut ainsi, parce que ces cicatrices, loin d'attester sa défaite et son infirmité, proclament au contraire sa force invincible et son triomphe. Il a vaincu la mort, et les plaies qu'il a reçues dans la lutte sont le souvenir de sa victoire. Il faut donc que le ciel le voie entrer au jour de son Ascension, éblouissant les regards des Anges par les rayons qui émanent de ses membres transpercés. A son exemple, ses martyrs, vainqueurs aussi de la mort, resplendiront d'un éclat tout spécial aux parties de leurs corps que les tortures ont sillonnées : telle est la doctrine des saints Pères.

 

 Et ne doit-il pas, notre divin ressuscité, exercer du haut de son trône la sublime médiation pour laquelle il a revêtu notre chair, désarmant sans cesse la trop juste colère de son Père, intercédant pour nous, et faisant descendre sur la terre les grâces qui sauvent les hommes ? L'éternelle justice réclame ses droits, tout est à craindre pour les pécheurs ; mais l'Homme-Dieu interposant ses membres marqués du sceau de sa passion, arrête la foudre prête à éclater, et la miséricorde prévaut encore une fois sur la rigueur. Ô plaies sacrées, ouvrage de nos péchés , et devenues ensuite notre bouclier, après vous avoir vénérées sanglantes dans toute la componction de nos cœurs, nous vous adorons au ciel comme la noble parure de notre Emmanuel ; partout vous êtes notre espérance et notre sauvegarde.

 

 Cependant un jour viendra où ces augustes stigmates, sans rien perdre de leur splendeur aux yeux des Anges, se révéleront aux hommes, et seront pour plusieurs un objet de confusion et d'épouvante. "Ils verront en ce jour Celui qu'ils ont transpercé", nous dit le Prophète. Les ineffables douleurs de la passion, les joies non pareilles de la résurrection, dédaignées, méconnues, foulées aux pieds, auront préparé la plus terrible vengeance, la vengeance d'un Dieu qui ne peut avoir été en vain crucifié, et qui ne peut être ressuscité en vain. On comprend alors ce cri d'effroi : "Montagnes, tombez sur nous ! rochers, couvrez-nous ! dérobez-nous la vue de ces plaies vengeresses qui n'envoient plus sur nous les rayons de la miséricorde, mais nous lancent aujourd'hui les éclairs d'un implacable courroux."

 

Ô plaies sacrées de notre divin ressuscité, en ce jour terrible soyez propices à tous ceux auxquels la Pâque a rendu la vie. Heureux ceux qui durant ces quarante jours eurent la faveur de vous contempler ! heureux serons-nous nous-mêmes, si nous vivons en vous aimant, en vous vénérant.

 

Empruntons les sentiments de saint Bernard, et disons avec lui :

 

" Quel plus sûr asile que les plaies du Sauveur pour celui qui est faible ? Pour moi, je m'y trouve d'autant plus en sécurité, qu'il est plus puissant pour sauver. Le monde frémit de rage, la chair fait sentir son poids, le démon tend ses embûches, je ne succombe pas, fondé que je suis sur la pierre ferme.   

" Mon péché est grand ; ma conscience en est troublée, mais mon trouble n'ira pas jusqu'au désespoir ; car je me souviens des plaies du Seigneur. N'est-ce pas pour nos iniquités a qu'il a été blessé ? Ce qui me manque, je vais le prendre dans le Cœur même du Seigneur, source de miséricorde. Il est des ouvertures par lesquelles cette miséricorde jaillit jusque sur moi. En perçant ses mains et ses pieds, en ouvrant son côté, ils m'ont fourni le moyen de goûter combien le Seigneur est doux. Le Seigneur voulait faire la paix avec moi, et je ne le savais pas ; car quel est celui qui connaît les pensées du Seigneur ?

" Mais le fer en pénétrant les membres divins m'a donné l'intention du Seigneur. Et que vois-je et qu'entends-je ? c'est le clou lui-même, c'est la blessure elle-même qui me crient que Dieu est dans le Christ afin de se réconcilier avec le monde. Si le fer de la lance est allé jusqu'à son Cœur, c'était afin que ce Cœur sût compatir à mes misères. Par les ouvertures du corps de l'Homme-Dieu apparaissent les secrets de son Cœur, le grand mystère de bonté, les entrailles de la miséricorde de notre Dieu. Qui pouvait nous montrer mieux que ne l'ont fait vos blessures, Seigneur, à quel point vous êtes doux et miséricordieux ?"

 

 Saint Bernard In Cantic. Serm. LXI

 

 

DOM GUÉRANGER
L'Année Liturgique

 

L'incrédulité de Saint Thomas par Rembrandt

Partager cet article
Repost0
12 avril 2010 1 12 /04 /avril /2010 10:11

La première semaine a été donnée tout entière aux joies du retour de notre Emmanuel. Il nous est apparu pour ainsi dire à chaque heure, afin de nous rendre certains de sa résurrection. "Voyez, touchez ; c'est bien moi", nous a-t-il dit ; mais nous savons qu'il ne doit pas prolonger au delà de quarante jours sa présence visible au milieu de nous. Cette heureuse période avance peu à peu dans son cours ; les heures s'écoulent, et bientôt il aura disparu à nos regards, Celui vers lequel la terre a tant soupiré. "Ô vous, l'attente d'Israël et son Sauveur, s'écrie le Prophète, pourquoi vous montrez-vous ici-bas comme un voyageur a qui est refusé  de  faire  séjour ?   pourquoi  votre course est-elle semblable à celle de l'homme qui ne s'arrête jamais ?" Mais les moments sont d'autant plus chers. Pressons-nous autour de lui durant ces heures rapides ; suivons-le du regard, lorsque nous n'entendons plus sa voix ; mais recueillons surtout ses paroles, quand elles arrivent jusqu'à nous ; elles sont le testament de notre divin Chef.

 

 Durant ces quarante jours, il ne cesse d'apparaître à ses disciples, non  plus dans le but de rendre certaine à leurs yeux sa résurrection, dont ils ne peuvent plus douter ; mais, comme nous l'apprend  saint  Luc,   pour "les  entretenir  du Royaume de Dieu". Par son sang et par sa victoire les hommes sont désormais rachetés, le ciel et la terre sont pacifiés ; ce qui reste à consommer maintenant, c'est l'organisation de l'Eglise. L'Eglise  est le  royaume  de  Dieu ; car  c'est en elle et  par elle que  Dieu va régner  sur la terre. L'Eglise  est l'Epouse du   divin   ressuscité qui l'a tirée  de  la poussière ; il  est temps  qu'il  la dote, qu'il la pare pour le grand jour où l'Esprit-Saint descendant sur elle doit la proclamer, à la face de toutes les nations, Epouse du Verbe incarné et Mère des élus.

 

Trois choses sont nécessaires à la sainte Eglise pour l'exercice de sa mission : une constitution dressée de la main même du Fils de Dieu, et par laquelle elle va devenir une société visible et permanente ; le dépôt fait entre ses mains de toutes les vérités que son céleste Epoux est venu révéler ou confirmer ici-bas, ce qui renferme le droit d'enseigner, et d'enseigner avec infaillibilité ; enfin les moyens efficaces par lesquels les  fidèles du Christ seront mis en participation des grâces de salut et de sanctification qui sont le fruit du Sacrifice offert sur la croix. Hiérarchie, doctrine, sacrements : tels sont les graves objets sur lesquels Jésus donne à ses disciples, durant quarante jours, ses dernières et solennelles instructions.

 

 Avant de le suivre dans ce sublime travail par lequel il dispose et perfectionne son œuvre immortelle, considérons-le encore, toute cette semaine, dans son attitude de Fils de Dieu ressuscité, habitant parmi les hommes, et présentant à leur admiration et à leur amour tant de traits qu'il nous importe de recueillir. Nous l'avons contemplé dans les langes et sur la croix ; qu'il nous soit permis maintenant de le considérer dans sa gloire.

 

 Il est devant nous, "le plus beau des enfants des hommes !" Mais si déjà il méritait d'être appelé ainsi dès le temps où il voilait l'éclat de ses traits sous l'infirmité d'une chair mortelle, quelle n'est pas la splendeur de sa beauté aujourd'hui qu'il a vaincu la mort, et qu'il ne comprime plus comme autrefois les rayons de sa gloire ! Le voilà fixé pour l'éternité a l'âge de sa victoire, à cet âge où l'homme a pris tout son accroissement en force et en beauté, où rien n'annonce encore en lui la future décadence C'est à ce même âge qu'Adam, formé sur le type du Médiateur à venir, sortit des mains de Dieu, comme le chef-d'œuvre de la création terrestre ; c'est aussi à cet âge que les justes reprendront leurs corps à la résurrection générale, et qu'ils entreront pour jamais dans la gloire, étant fixés, comme dit l'Apôtre, "à la mesure de l'âge complet du Christ".

 

 Mais ce n'est pas seulement par l'ineffable harmonie de ses traits que le corps de notre divin ressuscité ravit les regards des heureux mortels auxquels il se laisse contempler ; des perfections que l'œil des trois Apôtres avait à peine entrevues un instant sur le Thabor, éclatent en lui, accrues de toute la magnificence de son triomphe. Dans la glorieuse transfiguration, l'humanité unie au Verbe divin resplendissait comme le soleil ; maintenant tout l'éclat de la victoire et de la royauté est venu s'unir à celui que projetait sur le corps non encore glorifié du Rédempteur la personne divine à laquelle l'incarnation l'a uni. Aujourd'hui, les astres du firmament ne sont plus dignes d'être mis en comparaison avec la splendeur de ce divin soleil, dont saint Jean nous dit qu'il éclaire à lui seul toute l'immensité de la Jérusalem céleste.

 

 A ce don que l'Apôtre des Gentils désigne sous le nom de clarté, se joint celui de l’impassibilité, par laquelle le corps de notre divin ressuscité a cessé d'être accessible à la souffrance et à la mort. La vie l'a pris pour siège ; l'immortalité éclate dans tous ses traits ; il est entré dans les conditions de l'éternité. Ce corps demeure matière, mais aucune diminution, aucun affaiblissement ne sauraient avoir prise sur lui ; on sent qu'il est en possession de la vie, et pour jamais. La troisième qualité du corps glorieux de notre Rédempteur est l'agilité, avec laquelle il se transporte d'un lieu dans un autre sans effort et dans un instant. La chair a perdu ce poids qui, dans notre état actuel, empêche le corps de suivre les mouvements et les volontés de l'âme. De Jérusalem à la Galilée il franchit l'espace avec la rapidité de l'éclair, et l'Epouse s'écrie avec transport : "J'entends la voix de mon bien-aimé ; il vient s'élançant des montagnes, laissant derrière lui les  collines".

 

Enfin, par une quatrième merveille, le corps de l'Emmanuel a revêtu cette qualité que l'Apôtre appelle la spiritualité ; c'est-à-dire que, sans changer cependant de nature, sa subtilité est devenue telle, qu'il pénètre tous les obstacles, avec plus d'énergie que la lumière n'en met à traverser le cristal. Nous l'avons vu, au moment où l'âme se réunissait à lui, franchir la pierre scellée du sépulcre ; maintenant, il entre dans le Cénacle dont les portes sont fermées, et paraît tout à coup aux regards de ses disciples éblouis.

 

 Tel est notre libérateur, affranchi des conditions de la mortalité. Ne nous étonnons plus que l'Eglise, cette petite famille qui l'entoure et dont nous sommes issus, soit ravie a sa vue, qu'elle lui dise dans son admiration et son amour : "Que vous êtes beau, ô mon bien-aimé !" Répétons-le à notre tour : Oui, vous êtes beau par-dessus tout, ô Jésus ! Nos yeux si affligés du spectacle de vos douleurs, lorsque naguère vous nous apparaissiez couvert de plaies et semblable à un lépreux, ne peuvent se lasser aujourd'hui de contempler l'éclat dont vous brillez, de se délecter dans vos charmes divins. Gloire à vous dans votre triomphe ! mais aussi gloire à vous dans votre munificence envers vos rachetés ! car vous avez décrété qu'un jour nos corps, purifiés par l'humiliation du tombeau, partageront avec le vôtre les sublimes prérogatives que nous célébrons en lui.

 

DOM GUÉRANGER
L'Année Liturgique

 

Apparition à Marie-Madeleine

Partager cet article
Repost0
11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 21:20

A Palestinian boy calls for customers as he sells corn cobs at Jaffa Gate ...

A Palestinian boy calls for customers as he sells corn cobs at Jaffa Gate in Jerusalem's Old city, Saturday, April 10, 2010.

 

An Ethiopian Orthodox pilgrim drinks water from a spring at Ein Yael on ...

An Ethiopian Orthodox pilgrim drinks water from a spring at Ein Yael on the outskirts of Jerusalem April 11, 2010

An Ethiopian Orthodox pilgrim has water from a spring poured on her face ...

An Ethiopian Orthodox pilgrim has water from a spring poured on her face at Ein Yael on the outskirts of Jerusalem April 11, 2010.

 

Palestinian women watch a protest near a disputed house in the neighborhood ...

Palestinian women watch a protest near a disputed house in the neighborhood of Sheikh Jarrah in east Jerusalem Friday, April 9, 2010

Israeli order paves way for West Bank deportations: report

Israeli border guards check Palestinian women's IDs as they head to Jerusalem at a checkpoint in Bethlehem

An Israeli Arab woman and girl walk in front of the Dome of the Rock in ...

An Israeli Arab woman and girl walk in front of the Dome of the Rock on the compound known to Muslims as al-Haram al-Sharif and to Jews as Temple Mount, in Jerusalem's Old City April 8, 2010.

An Israeli Arab youth draws the Dome of the Rock in Jerusalems Old ...

An Israeli Arab youth draws the Dome of the Rock before a rally on the compound known to Muslims as al-Haram al-Sharif and to Jews as Temple Mount, in Jerusalem's Old City April 8, 2010.

Muslim worshippers pray inside and outside the Dome of the Rock in Jerusalem

Muslim worshippers pray inside and outside the Dome of the Rock on the compound known to Muslims as al-Haram al-Sharif and to Jews as Temple Mount, in Jerusalem's Old City April 8, 2010

 

Israeli soldiers stand in formation during the opening ceremony of the annual ...

Israeli soldiers stand in formation during the opening ceremony of the annual Holocaust Memorial Day at the Yad Vashem Holocaust Memorial in Jerusalem April 11, 2010

A Jewish man looks at exhibit showing the Nazi flag, during a visit at Yad ...

A Jewish man looks at exhibit showing the Nazi flag, during a visit at Yad Vashem Holocaust Memorial in Jerusalem Sunday, April 11, 2010

An Israeli visits the Hall of Names at the Yad Vashem Holocaust museum in ...

An Israeli visits the Hall of Names at the Yad Vashem Holocaust museum in Jerusalem, Sunday, April 11, 2010. The annual Israeli memorial day for the 6 million Jews killed in the Holocaust of World War II begins at sundown Sunday

Ultra-orthodox Jewish children cover their faces as they play in a street ...

Ultra-orthodox Jewish children cover their faces as they play in a street in the Mea Shearim neighborhood in Jerusalem, Thursday, April 8, 2010

 

Palestinian woman receives treatment after inhaling tear gas during a protest ...

Palestinian woman receives treatment after inhaling tear gas during a protest against the controversial Israeli barrier in the West Bank village of Nabi Saleh near Ramallah April 9, 2010

 

An Ultra-Orthodox Jewish men walk past Israeli soldiers as they stand guard ...

An Ultra-Orthodox Jewish men walk past Israeli soldiers as they stand guard next to the tombs of Biblical figures Calev Ben Yefuneh ,Nun , Father of Yehoshua Bin Nun, also know as Joshua, in the West Bank village of Kifl Hareth, near Nablus, late Thursday, April 8, 2010

 

A Palestinian woman shops with a baby in Jerusalem's Old city, Saturday, ...

A Palestinian woman shops with a baby in Jerusalem's Old city, Saturday, April 10, 2010

 

 

 

Palestinian demonstrators are reflected in the glasses of an Israeli soldier ...

Palestinian demonstrators are reflected in the glasses of an Israeli soldier during a protest in the West Bank village of Deir Istiya near Qalqilya April 2, 2010

World must press both sides to probe Gaza war: rights group

Palestinian girls stand on the balcony of their ruined house, hit during Israel's 22-day offensive over Gaza, in 2009 in Rafah, southern Gaza Strip

 

 

http://news.yahoo.com/

Partager cet article
Repost0
11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 17:00

C'est le souhait qu'il nous adresse à nous-mêmes dans la Pâque. En ces jours il rétablit partout la paix : la paix de l'homme avec Dieu, la paix dans la conscience du pécheur réconcilié, la paix fraternelle des hommes entre eux par le pardon et l'oubli des injures.

 

Recevons ce souhait de notre divin ressuscité, et gardons chèrement cette paix qu'il daigne nous apporter lui-même. Au moment de sa naissance en Bethléhem, les Anges annoncèrent cette paix aux hommes de bonne volonté ; aujourd'hui Jésus lui-même, ayant accompli son œuvre de pacification, vient en personne nous en apporter la conclusion. La Paix : c'est sa première parole à ces hommes qui nous représentaient tous. Acceptons avec amour cette heureuse parole, et montrons-nous désormais, en toutes choses, les enfants de la paix.

 

L'attitude des Apôtres dans cette grande scène doit aussi exciter notre attention. Ils connaissent la résurrection de leur maître ; ils se sont empressés de la proclamer à l'arrivée des deux disciples d'Emmaüs ; que leur foi est faible cependant ! La présence soudaine de Jésus les trouble ; s'il daigne leur donner ses membres à toucher, afin de les convaincre, cette expérience les émeut, les remplit de joie ; mais il reste encore en eux je ne sais quel fond d'incrédulité. Il faut que le Sauveur pousse la bonté jusqu'à manger devant eux, afin de les convaincre tout à fait que c'est bien lui et non un fantôme. Cependant ces hommes, avant la visite de Jésus, croyaient déjà et confessaient sa résurrection ! Quelle leçon nous donne ce fait de notre Evangile !

 

Il en est donc qui croient, mais d'une foi si faible que le moindre choc la ferait chanceler ; qui pensent avoir la foi, et qui l'ont à peine effleurée. Sans la foi cependant, sans une foi vive et énergique, que pouvons-nous faire, au milieu de cette  lutte que nous avons à soutenir constamment contre les démons, contre  le monde et contre nous-mêmes ? Pour lutter, la première condition est d'être sur un sol résistant ; l'athlète dont les pieds posent sur  le sable mouvant ne tardera pas d'être renversé.  Rien de  plus commun aujourd'hui que  cette foi vacillante,  qui croit jusqu'à ce qu'arrive l'épreuve de cette foi constamment minée en dessous par un naturalisme subtil, qu'il est  si difficile de  ne pas aspirer plus ou moins, dans l'atmosphère malheureuse qui nous entoure.

 

Demandons avec instance la foi, une foi invincible, surnaturelle, qui devienne le grand ressort de notre vie tout entière, qui ne cède jamais, qui triomphe toujours au dedans de nous-mêmes comme à l'extérieur ;  afin que nous puissions nous approprier en toute vérité cette forte parole de l'Apôtre saint  Jean : "La victoire qui met le monde tout entier sous  nos pieds, c'est notre foi." 

 

DOM GUÉRANGER
L'Année Liturgique

 

Christ Rédempteur

Partager cet article
Repost0
11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 07:00

C'était après la mort de Jésus, le soir du premier jour de la semaine. Les disciples avaient verrouillé les portes du lieu où ils étaient, car ils avaient peur des Juifs.

 

 

Jésus vint, et il était là au milieu d'eux. Il leur dit : " La paix soit avec vous !"

 

Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur.

 

Jésus leur dit de nouveau : " La paix soit avec vous ! De même que le Père m'a envoyé, moi aussi, je vous envoie."

 

Ayant ainsi parlé, il répandit sur eux son souffle et il leur dit : "Recevez l'Esprit Saint. Tout homme à qui vous remettrez ses péchés, ils lui seront remis ; tout homme à qui vous maintiendrez ses péchés, ils lui seront maintenus."

 

 Or, l'un des Douze, Thomas (dont le nom signifie : Jumeau) n'était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : "Nous avons vu le Seigneur !" Mais il leur déclara : "Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l'endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas !"

 

Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux.

 

 Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d'eux. Il dit : "La paix soit avec vous !"

 

 

Puis il dit à Thomas : " Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d'être incrédule, sois croyant."

 

Thomas lui dit alors : " Mon Seigneur et mon Dieu !"

 

Jésus lui dit : " Parce que tu m'as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu."

 

 

Il y a encore beaucoup d'autres signes que Jésus a faits en présence des disciples et qui ne sont pas mis par écrit dans ce livre. Mais ceux-là y ont été mis afin que vous croyiez que Jésus est le Messie, le Fils de Dieu, et afin que, par votre foi, vous ayez la vie en son nom.

 

 

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean

 

tableaux de Duccio di Buoninsegna

Partager cet article
Repost0
11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 04:00

La conversation continuait entre ces hommes simples et droits, ces hommes si obscurs alors, et dont le monde entier devait plus tard connaître les  noms  immortels. Les portes  de la maison étaient fermées cependant ; car la petite troupe craignait une surprise. Les gardes du tombeau avaient fait leur rapport aux princes des prêtres dans la matinée ; ceux-ci avaient cherché à les suborner, et leur avaient même donné de l'argent pour les engager à dire que, pendant leur sommeil, les disciples de Jésus étaient venus dérober le corps. Ce système déloyal des autorités juives pouvait amener quelque réaction populaire contre les Apôtres, et ceux-ci avaient jugé devoir prendre des précautions. A ce moment, ils se trouvaient dix rassemblés ; car Thomas, qui avait été présent au moment de l'entrée des disciples d'Emmaüs, était sorti plus tard dans la ville, à la faveur des ténèbres.

 

 Au moment où les Apôtres repassaient entre eux les émotions de cette mémorable journée, voici Jésus qui paraît devant eux, et les portes ne se sont pas ouvertes pour lui donner passage.

 

  

C'est bien lui, ce sont bien ses traits ; c'est sa voix pleine de bonté. "La paix soit avec vous !" leur dit-il avec tendresse. Toutefois ils demeurent interdits ; cette entrée mystérieuse et inattendue les a bouleversés. Ils ignorent encore les prérogatives d'un corps glorieux ; et sans douter de la résurrection de leur maître, ils ne savent s'ils ne sont point en présence d'un fantôme. Jésus, qui, dans toute cette journée, semble avoir plus souci de témoigner son amour aux siens que de proclamer sa gloire, daigne leur donner à toucher ses membres divins ; il fait plus, et pour leur prouver la réalité de son corps, il leur demande à manger et mange devant eux.

 

Qui pourrait dire la joie dont leurs coeurs sont remplis à la vue de cette ineffable familiarité, les larmes d'attendrissement qui coulent de leurs veux ? Avec quelle allégresse naïve ils disent à Thomas, lorsque cet Apôtre est de retour auprès d'eux : "Nous avons vu le Seigneur !" Ainsi se passa la sixième apparition de Jésus ressuscité,en ce jour de Pâques. Elle nous est rapportée par saint Luc, dont la sainte Eglise nous donne à lire le récit à la Messe de l'un des jours de l'Octave.

 

 Soyez donc béni et glorifié, vainqueur de la mort, qui en ce seul jour avez daigné vous montrer aux hommes jusqu'à six fois, pour satisfaire votre amour et pour appuyer notre foi en votre divine Résurrection.

 

Soyez béni et glorifié d'avoir consolé, par votre chère présence et vos douces caresses, le cœur si oppressé de votre Mère et la nôtre.

 

Soyez béni et glorifié d'avoir calmé la désolation de la pauvre Madeleine par une seule parole de votre amour.

 

Soyez béni et glorifié d'avoir essuyé en un moment les larmes des saintes femmes par votre vue soudaine, et de leur avoir donné à baiser vos pieds sacrés.

 

Soyez béni et glorifié d'avoir donné à Pierre de votre propre bouche l'assurance de son pardon, et d'avoir confirmé en lui les dons de la Primauté, en lui révélant, à lui avant tous, le dogme fondamental de noire foi.

 

Soyez béni et glorifié d'avoir rassuré avec tant de douceur le cœur chancelant des deux disciples, sur la route d'Emmaüs, et d'avoir mis le comble à cette faveur, en vous dévoilant à eux.

 

Soyez béni et glorifié de n'avoir pas achevé cette journée sans visiter vos Apôtres, et sans leur avoir donné de si touchantes preuves de votre adorable condescendance à leur faiblesse.

 

Soyez enfin béni et glorifié, ô Jésus, de ce que vous daignez aujourd'hui, par l'organe de votre sainte Eglise, nous faire entrer en participation, après tant de siècles, des joies si pures et si enivrantes que goûtèrent à pareil jour et Marie, votre mère, et Madeleine avec ses compagnes, et Pierre, et les disciples d'Emmaüs, et les Apôtres rassemblés.

 

Rien ici n'est effacé ; tout est vivant, tout est renouvelé ; vous êtes le même, et notre Pâque aujourd'hui est aussi la même que celle qui vous vit sortir du tombeau. Tous les temps sont à vous ; et le monde des âmes vit par vos mystères, comme le monde matériel se soutient par votre pouvoir, depuis le moment où, à pareil jour, il vous plut de commencer votre œuvre, en créant la lumière visible qui doit éclairer ce monde, jusqu'à ce qu'elle pâlisse et s'efface devant l'éternelle clarté que vous nous avez conquise aujourd'hui.

 

 Célébrons en ce jour le premier des six jours de la création, celui qui vit la lumière sortir des ténèbres à l'appel souverain du Verbe de Dieu. Il est la lumière incréée du Père, et il a débuté dans son œuvre en produisant du néant cette image matérielle de sa propre splendeur ; et il a voulu que les justes fussent appelés enfants de la lumière, et les pécheurs enfants des ténèbres. Lorsqu'il s'est montré aux hommes dans la chair, il leur a dit : "Je suis la Lumière du monde : celui qui me suit ne marche point dans les ténèbres ; mais il aura la lumière de vie".

 

Enfin, pour montrer la parfaite harmonie et le lien sacré de l'ordre de nature et de l'ordre de grâce, il s'est élancé des ombres du tombeau le jour même où il fit sortir du chaos la lumière visible qui nous éclaire, et qui est pour nous le premier des biens dans l'ordre matériel.

 

L'Eglise Gothique d'Espagne exprimait la reconnaissance de  l'humanité régénérée pour  le double bienfait qui se rattache à ce grand jour, dans cette belle prière que nous empruntons à son  Bréviaire : 

 

CAPITULA

 

Ô Dieu, à qui nous devons ce jour, le premier de tous, dans lequel vous avez voulu manifester à tous les êtres créés la lumière visible et celui qui est la forme de l'invisible lumière, faisant jaillir dans un même jour le flambeau qui éclaire le monde, et la splendeur divine qui illumine les âmes ; vous qui par un calcul céleste avez joint ensemble le dimanche, premier jour de votre labeur, et le moment de la résurrection, afin que le même mystère ouvrit et terminât la solennité pascale ; jetez un regard, dans ce temps favorable et dans ces jours de salut, sur vos serviteurs que vous avez rachetés.

 

Dans le désert de cette vie, daignez marcher devant nous, comme un nuage qui nous couvre de son ombre durant le jour, et tempère l'ardeur de nos tentations ; comme une colonne de feu qui, durant la nuit,  nous préserve  par sa lumière dès ténèbres du péché, ainsi vous serez notre Sauveur par votre présence, et vous nous conduirez au lieu de notre repos.

 

 

DOM GUÉRANGER
L'Année Liturgique

 

tableau de Duccio di Buoninsegna 

Partager cet article
Repost0
10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 21:40

The portrait of Polish President Lech Kaczynski and his wife Maria is seen ...

The portrait of Polish President Lech Kaczynski and his wife Maria is seen covered with black ribbon and a Polish flag in a Catholic church in Lviv, Western Ukraine, Saturday, April 10, 2010

 

People place candles in the Pilsucki Square in Warsaw, Poland, Saturday, ...

People place candles in the Pilsucki Square in Warsaw, Poland, Saturday, April 10, 2010,

 

People take part in a special Mass dedicated to the presidential plane crash ...

People take part in a special Mass dedicated to the presidential plane crash victims at the Polish Army Field Cathedral , in Warsaw, Poland, Saturday, April 10, 2010

People attend a service at the Cathedral of St. Elizabeth, after Polish ...

People attend a service at the Cathedral of St. Elizabeth, after Polish President Lech Kaczynski died in a plane crash in Russia, in Wroclaw, Poland, Saturday, April 10, 2010

People kneel outside in Wroclaws city center during a holy mass at ...

People kneel outside in Wroclaw's city center during a holy mass at St. Elizabeth's Cathedral April 10, 2010

 

People mourn in front of the Presidential Palace in Warsaw, Poland, Saturday, ...

People mourn in front of the Presidential Palace in Warsaw, Poland, Saturday, April 10, 2010,

People mourn in front of the Presidential Palace in Warsaw, Poland, Saturday, ...

People mourn in front of the Presidential Palace in Warsaw, Poland, Saturday, April 10, 2010

People light candles and lay flowers in front of the Presidential Palace ...

People light candles and lay flowers in front of the Presidential Palace in Warsaw, Poland, Saturday, April 10, 2010,

Mourners light candles and lay flowers in front of the Presidential Palace ...

Mourners light candles and lay flowers in front of the Presidential Palace in Warsaw, Poland, Saturday, April 10, 2010,

 

People light candles in front of the Polish Embassy in Prague

People light candles in front of the Polish Embassy in Prague April 10, 2010

A woman lights a candle in front of the Polish Embassy in Prague

A woman lights a candle in front of the Polish Embassy in Prague April 10, 2010.

 

 

Portraits of Polish President Lech Kaczynski and his wife Maria are set ...

Portraits of Polish President Lech Kaczynski and his wife Maria are set up on the facade of the Polish church in Paris, Saturday April 10, 2010

A woman places roses by the portraits of Polish President Lech Kaczynski ...

A woman places roses by the portraits of Polish President Lech Kaczynski and his wife Maria on the facade of the Polish church in Paris, Saturday April 10, 2010.

 

 

 

A man with a Polish flag mourns in front of the Presidential Palace in Warsaw

A man with a Polish flag mourns in front of the Presidential Palace in Warsaw April 10, 2010.

 

 

 

A person prays in the cathedral of St. Elizabeth, after Polish President ...

A person prays in the cathedral of St. Elizabeth, after Polish President Lech Kaczynski died in a plane crash in Russia, in Wroclaw, Poland, Saturday, April 10, 2010

 

http://news.yahoo.com/

Partager cet article
Repost0