Une chaleur de feu

Lundi, le Sharav - un vent chaud et sec provenant du Sahara - souffle sur tout le pays, provoquant plusieurs incendies, des chutes d'arbres et de lignes à haute tension.

D'après le service météorologique, la vitesse du vent peut aller jusqu'à 80 km/h. Les températures atteindront leur maximum en fin d'après-midi, avec 35 °C à Tel-Aviv, 32 °C à Jérusalem et 40 °C à Beershéva.
article complet sur le site du Jerusalem Post édition française



Jérusalem se met en quatre
Le maire de Jérusalem a accueilli des pèlerins à Jérusalem lundi avant la prochaine venue du pape Benoît XVI, du 11 au 15 mai prochain.

"C'est un grand honneur de recevoir sa Sainteté, le pape Benoît XVI et les milliers de pèlerins du monde entier à Jérusalem", lit-on dans une déclaration du maire de la capitale.
article du Jerusalem Post



Faire un cadeau au Vatican
Le président Shimon Pérès veut donner les clés des lieux saints chrétiens au Vatican. Cette information a été rapportée par la radio israélienne. Un projet auquel s'oppose le ministre de l'Intérieur, Eli Yishai.
Jerusalem Post



La visite du Pape en Israël loin d’être prête
Le ministre du Tourisme Star Misezhnikov doit annoncer dimanche 26 avril que les 43 millions de shekels (10,1 millions de dollars) prévus pour la visite du Pape en Israël n’ont pas encore été utilisés, ce qui pourrait entrainer des conséquences désastreuses sur le bon déroulement de son séjour.
A titre d’exemple, 15 jours avant son arrivée, les rénovations et les constructions sur les lieux saints que le Pape prévoit de visiter ne sont pas encore achevées.
D’après S. Misezhnikov, la raison principale de ce retard est le non-transfert des fonds aux différents ministères et organisations impliquées dans le déplacement papal. Il a ajouté que la responsabilité de cette situation revenait au ministre des Finances. 

D’autres sujets nécessitant une préparation, comme l’envoi d’invitations aux représentants de l’Eglise catholique dont la tâche revient au ministre de l’Intérieur ou les contrôles sécuritaires à l’entrée des territoires palestiniens qui sont sous la responsabilité de la police, ne sont pas davantage finalisés. 

D’après le Shin Bet, les manifestations prévues dans la ville arabe de Nazareth peuvent mettre en danger le Saint père. De plus, la police israélienne s’attend à de violentes manifestations le 14 mai, jour de la ‘Naqba’, (jour de la naissance de l’Etat d’Israël, célébré comme  une ‘catastrophe’ par les Palestiniens).
lire l'article complet de Ray Archeld pour Guysen International News

Là se trouve l’originalité de la foi chrétienne : la Parole de Dieu. Ce n’est pas un poème, des pensées, un livre laissé à la méditation des croyants. La Parole de Dieu, c’est Dieu lui-même qui me parle et agit pour que j’agisse et lui réponde. Dieu me rend la vie parce qu’il m’aime. Il me fait partager son amour pour tous les hommes mes frères. Il m’unit à son action.

Cet acte de Dieu que je viens de dire en termes subjectifs, à la première personne du singulier, nous est donné par le Christ dans l’objectivité de l’histoire du Salut. Quand les membres de l’Eglise, prêtres et laïcs, reçoivent, partagent et transmettent cette Parole, ils se laissent saisir par l’action de Dieu qui les amène à transformer tous les domaines de l’existence - sociale, culturelle, familiale, etc... Le plus souvent cela provoque des chocs en eux-mêmes et avec la société ambiante. Ce n’est pas nouveau : du désert du Sinaï aux martyrs de Corée, la Parole vivante apprend à ceux qui l’écoutent et la mettent en pratique la difficile lucidité de ceux qui dans l’obscurité sont fidèles à la lumière.

Tous les hommes sont appelés et aimés de Dieu, mais tous, pour autant, ne seront pas durant le temps de leur vie configurés au Messie, au Christ-Messie. Ceux qui le sont ont un rôle particulier dans l’histoire en dépit de leurs faiblesses et de leurs limites personnelles ; ils ne font qu’un avec le Christ pour travailler avec lui à ce que tous les hommes entrent dans l’amour filial de Dieu, du Père des hommes.

L’élection d’Israël a été ouverte à toutes les nations, et ceux qui sont associés au Christ visiblement remplissent dans ce monde la mission que Dieu a éternellement donnée à son Fils bien-aimé. Ce sont les enfants de Dieu qui doivent dans ce monde attester que Dieu aime le monde, et que le monde n’est pas perdu ni abandonné à son néant.

Quant à savoir qui, de ceux à qui nous sommes ainsi envoyés, répondra ou non à son appel, cela reste le secret de Dieu.