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"Je vous donne un commandement nouveau : c'est de vous aimer les uns les autres.

 

Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres.

 

Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c'est l'amour que vous aurez les uns pour les autres."

 

Evangile de Jésus-Christ selon  saint Jean 

   

 

Pentecôte

" Le Défenseur, l'Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit."

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean  

 

   

 

 El Papa es argentino. Jorge Bergoglio                 

Saint Père François

 

 

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1er mai 2011 Béatification de Jean-Paul II

Béatification du Serviteur de Dieu Jean-Paul II

 

 

  Béatification du Père Popieluszko

beatification Mass, in Warsaw, Poland

à Varsovie, 6 juin 2010, Dimanche du Corps et du Sang du Christ

 

 

presidential palace in Warsaw

Varsovie 2010

 

 

Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Sanctuaire de l'Adoration Eucharistique et de la Miséricorde Divine

La miséricorde de Dieu est comme un torrent débordé. Elle entraîne les cœurs sur son passage.
(Saint Curé d'Ars)
 

 


Le côté du Christ a été transpercé et tout le mystère de Dieu sort de là. C’est tout le mystère de Dieu qui aime, qui se livre jusqu’au bout, qui se donne jusqu’au bout. C’est le don le plus absolu qui soit. Le don du mystère trinitaire est le cœur ouvert. Ce n’est pas une image, c’est une réalité. C’est la réalité la plus profonde qui soit, la réalité de l’amour.
Père Marie-Joseph Le Guillou




Dans le cœur transpercé
de Jésus sont unis
le Royaume du Ciel
et la terre d'ici-bas
la source de la vie
pour nous se trouve là.

Ce cœur est cœur divin
Cœur de la Trinité
centre de convergence
de tous les cœur humains
il nous donne la vie
de la Divinité.


Sainte Thérèse Bénédicte de la Croix
(Edith Stein)



Le Sacré-Cœur représente toutes les puissances d'aimer, divines et humaines, qui sont en Notre-Seigneur.
Père Marie-Eugène de l'Enfant Jésus

 



feuille d'annonces de la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre

 

 

 

 

 

 

 

     

The Cambrai Madonna

Notre Dame de Grâce

Cathédrale de Cambrai

 

 

 

Cathédrale Notre Dame de Paris 

   

Ordinations du samedi 27 juin 2009 à Notre Dame de Paris


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Magnificat

     



Solennité de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie à Notre-Dame de Paris


NOTRE DAME DES VICTOIRES

Notre-Dame des Victoires




... ma vocation, enfin je l’ai trouvée, ma vocation, c’est l’Amour !

 

 

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Voyages de Benoît XVI

 

SAINT PIERRE ET SAINT ANDRÉ

Saint Pierre et Saint André

 

BENOÎT XVI à CHYPRE 

 

Benedict XVI and Cypriot Archbishop Chrysostomos, Church of 

Salutation avec l'Archevêque Chrysostomos à l'église d' Agia Kyriaki Chrysopolitissa de Paphos, le vendredi 4 juin 2010

 

     

 

Benoît XVI en Terre Sainte  


 

Visite au chef de l'Etat, M. Shimon Peres
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Visite au mémorial de la Shoah, Yad Vashem




 






Yahad-In Unum

   

Vicariat hébréhophone en Israël

 


 

Mgr Fouad Twal

Patriarcat latin de Jérusalem

 

               


Vierge de Vladimir  

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SALVE REGINA

13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 18:00

Le Père Rahner assurait que l’Ascension est la fête du véritable avenir du monde. Il semble bien que cette solennité concerne chacun de nous car elle indique le but de notre voyage ici-bas. C’est ce que résume la Préface en disant du Christ : "Il ne s’évade pas de notre condition humaine mais, en entrant le premier dans le Royaume, il donne aux membres de son Corps l’espérance de le rejoindre un jour".

 

Mon avenir est donc de partager la joie du Seigneur dans l’éternité. Or il y a des adversaires qui entravent parfois cette marche. Et toutes les oraisons funèbres de naguère avertissaient précisément les vivants en les invitant à se méfier des obstacles placés sur notre route. Bossuet, à l’occasion des funérailles de Marie-Thérèse, Reine de France, observait : "Nos vrais ennemis sont en nous-mêmes".

 

C’était exact en 1683 et ça l’est toujours aujourd’hui. En moi-même il y a peut-être un désir excessif des biens de fortune, un espoir de dominer les autres en m’imposant constamment, ou encore les tiraillements d’un amour coupable perturbant mon jugement. Et tout cela dérange le pèlerinage d’ici-bas qui me conduit vers ma propre ascension.

 

Voilà pourquoi, dans le même discours, Bossuet constatait : "L’ouvrage du Chrétien est de détruire nos passions qui feraient de nos cœurs un temple d’idoles". Le devoir de tout chrétien est de s’opposer aux faux dieux si nous souhaitons aller à la rencontre du Seigneur.

 

L’oraison de l’Ascension dit bien : "Le Christ nous a précédés dans la gloire et c’est là que nous vivons en espérance". Ainsi le croyant découvre le sens de la vie et il doit aider les autres à participer à une telle découverte. Le Christ ne s’est pas évadé : il nous tient la main quotidiennement.

 

Abbé Jean-Pierre Schaller

Saint-Louis d'Antin

 

L'Ascension par Le Tintoret

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 15:00

Le jour s'est levé radieux, la terre qui s'émut à la naissance de l'Emmanuel éprouve un tressaillement inconnu ; l'ineffable succession des mystères de l’Homme-Dieu est sur le point de recevoir son dernier complément. Mais l'allégresse de la terre est montée jusqu'aux cieux ; les hiérarchies angéliques s'apprêtent à recevoir le divin chef qui leur fut promis, et leurs princes sont attentifs aux portes, prêts à les lever quand le signal de l'arrivée du triomphateur va retentir. Les âmes saintes, délivrées des limbes depuis quarante jours, planent sur Jérusalem, attendant l'heureux moment où la voie du ciel, fermée depuis quatre mille ans par le péché, s'ouvrant tout à coup, elles vont s'y précipiter à la suite de leur Rédempteur. L'heure presse, il est temps que notre divin Ressuscité se montre, et qu'il reçoive les adieux de ceux qui l'attendent d'heure en heure, et qu'il doit laisser encore dans cette vallée de larmes.

 

 Tout à coup il apparaît au milieu du Cénacle. Le cœur de Marie a tressailli, les disciples et les saintes femmes adorent avec attendrissement celui qui se montre ici-bas pour la dernière fois. Jésus daigne prendre place à table avec eux ; il condescend jusqu'à partager un dernier repas, non plus dans le but de les rendre certains de sa résurrection, il sait qu'ils n'en doutent plus, mais, au moment d'aller s'asseoir à la droite du Père, il tient à leur donner cette marque si chère de sa divine familiarité. Ô repas ineffable, où Marie goûte une dernière fois en ce monde le charme d'être assise aux côtés de son fils, où la sainte Eglise représentée par les disciples et par les saintes femmes est encore présidée visiblement par son Chef et son Epoux !

 

 Qui pourrait exprimer le respect, le recueillement, l'attention des convives, peindre leurs regards fixés avec tant d'amour sur le Maître tant aimé ? Ils aspirent à entendre encore une fois sa parole ; elle leur sera si chère à ce moment du départ ! Enfin Jésus ouvre la bouche ; mais son accent est plus grave que tendre. Il débute en leur rappelant l'incrédulité avec laquelle ils accueillirent la nouvelle de sa résurrection. Au moment de leur confier la plus imposante mission qui ait jamais été transmise à des hommes, il veut les rappeler à l'humilité. Sous peu de jours ils seront les oracles du monde, le monde devra croire sur leur parole, et croire ce qu'il n'a pas vu, ce qu'eux seuls ont vu. C'est la foi qui met les hommes en rapport avec Dieu ; et cette foi, eux-mêmes ne l'ont pas eue tout d'abord : Jésus veut recevoir d'eux une dernière réparation pour leur incrédulité passée, afin que leur apostolat soit établi sur l'humilité.

 

 Prenant ensuite le ton d'autorité qui convient à lui seul, il leur dit : "Allez dans le monde entier, prêchez l'Evangile à toute créature. Celui qui croira et sera baptisé, sera sauvé ; mais celui qui ne croira pas sera condamné". Et cette mission de prêcher l'Evangile au monde entier, comment l'accompliront-ils ? par quel moyen réussiront-ils à accréditer leur parole ? Jésus le leur indique : "Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : ils chasseront les démons en mon nom ; ils parleront des langues nouvelles ; ils prendront les serpents avec la main ; s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur nuira pas ; ils imposeront les mains sur les malades, et les malades seront guéris". Il veut que le miracle soit le fondement de son Eglise, comme il l'a choisi pour être l'argument de sa mission divine. La suspension des lois de la nature annonce aux hommes que l'auteur de la nature va parler ; c'est à eux alors d'écouter et de croire humblement.

 

 Voilà donc ces hommes inconnus au monde, dépourvus de tout moyen humain, les voilà investis de la mission de conquérir la terre et d'y faire régner Jésus-Christ. Le monde ignore jusqu'à leur existence ; sur son trône impérial, Tibère, qui vit dans la frayeur des conjurations, ne soupçonne en rien cette expédition d'un nouveau genre qui va s'ouvrir, et dont l'empire romain doit être la conquête. Mais à ces guerriers il faut une armure, et une armure de trempe céleste. Jésus leur annonce qu'ils sont au moment de la recevoir. "Demeurez dans la ville, leur dit-il, jusqu'à ce que vous ayez été revêtus de la vertu d'en haut". Or, quelle est cette armure ? Jésus va le leur expliquer. Il leur rappelle la promesse du Père, "cette promesse, dit-il, que vous avez entendue par ma bouche. Jean a baptisé dans l'eau ; mais vous, sous peu de jours, vous serez baptisés dans le Saint-Esprit".

 

 Mais l'heure de la séparation est venue. Jésus se lève, et l'assistance tout entière se dispose à suivre ses pas. Cent vingt personnes se trouvaient là réunies avec la mère du divin triomphateur que le ciel réclamait. Le Cénacle était situé sur la montagne de Sion, l'une des deux collines que renfermait l'enceinte de Jérusalem. Le cortège traverse une partie de la ville, se dirigeant vers la porte orientale qui ouvre sur la vallée de Josaphat. C'est la dernière fois que Jésus parcourt les rues de la cité réprouvée. Invisible désormais aux yeux de ce peuple qui l'a renié, il s'avance à la tête des siens, comme autrefois la colonne lumineuse qui dirigeait les pas du peuple israélite. Qu'elle est belle et imposante cette marche de Marie, des disciples et des saintes femmes, à la suite de Jésus qui ne doit plus s'arrêter qu'au ciel, à la droite du Père ! La piété du moyen âge la célébrait jadis par une solennelle procession qui précédait la Messe de ce grand jour. Heureux siècles, où les chrétiens aimaient à suivre chacune des traces du Rédempteur, et ne savaient pas se contenter, comme nous, de quelques vagues notions qui ne peuvent enfanter qu'une piété vague comme elles !

 

 On songeait aussi alors aux sentiments qui durent occuper le cœur de Marie durant ces derniers instants qu'elle jouissait de la présence de son fils. On se demandait qui devait l'emporter dans ce cœur maternel, de la tristesse de ne plus voir Jésus, ou du bonheur de sentir qu'il allait entrer enfin dans la gloire qui lui était due. La réponse venait promptement à la pensée de ces véritables chrétiens, et nous aussi, nous nous la ferons à nous-mêmes. Jésus n'avait-il pas dit à ses disciples : "Si vous m'aimiez, vous vous réjouiriez de ce que je m'en vais à mon Père", or, qui aima plus Jésus que ne l'aima Marie ? Le cœur de la mère était donc dans l'allégresse au moment de cet ineffable adieu. Marie ne pouvait songer à elle-même, quand il s'agissait du triomphe dû à son fils et à son Dieu. Après les scènes du Calvaire , pouvait-elle aspirer à autre chose qu'à voir glorifié enfin celui qu'elle connaissait pour le souverain Seigneur de toutes choses, celui qu'elle avait vu si peu de jours auparavant renié, blasphémé, expirant dans toutes les douleurs.

 

Le cortège sacré a traversé la vallée de Josaphat, il a passé le torrent de Cédron, et il se dirige sur la pente du mont des Oliviers. Quels souvenirs se pressent à la pensée ! Ce torrent, dont le Messie dans ses humiliations avait bu l'eau bourbeuse, est devenu aujourd'hui le chemin de la gloire pour ce même Messie. Ainsi l'avait annoncé David. On laisse sur la gauche le jardin qui fut témoin de la plus terrible des agonies, cette grotte où le calice de toutes les expiations du monde fut présenté à Jésus et accepté par lui. Après avoir franchi un espace que saint Luc mesure d'après celui qu'il était permis aux Juifs de parcourir le jour du Sabbat, on arrive sur le territoire de Béthanie, cet heureux village où Jésus, dans les jours de sa vie mortelle, recherchait l'hospitalité dé Lazare et de ses sœurs. De cet endroit de la montagne des Oliviers on avait la vue de Jérusalem, qui apparaissait superbe avec son temple et ses palais. Cet aspect émeut les disciples. La prairie terrestre fait encore battre le cœur de ces hommes ; un moment ils oublient la malédiction prononcée sur l'ingrate cité de David, et semblent ne plus se souvenir que Jésus vient de les faire citoyens et conquérants du monde entier. Le rêve de la grandeur mondaine de Jérusalem les a séduits tout à coup, et ils osent adresser cette question à leur Maître : "Seigneur, est-ce à ce moment que vous rétablirez le royaume d'Israël ?"

 

 Jésus répond avec une sorte de sévérité à cette demande indiscrète : "Il ne vous appartient pas de savoir les temps et les moments que le Père a réservés à son pouvoir". Ces paroles n'enlevaient pas l'espoir que Jérusalem fût un jour réédifiée par Israël devenu chrétien ; mais ce rétablissement de la cité de David ne devant avoir lieu que vers la fin des temps, il n'était pas à propos que le Sauveur fît connaître le secret divin. La conversion du monde païen, la fondation de l'Eglise, tels étaient les objets qui devaient préoccuper les disciples. Jésus les ramène tout aussitôt à la mission qu'il leur donnait il y a peu d'instants : "Vous allez recevoir, leur dit-il, la vertu du Saint-Esprit qui descendra sur vous, et vous serez mes témoins dans Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre".

 

Selon une tradition qui remonte aux premiers siècles du christianisme, il était l'heure de midi, l'heure à laquelle Jésus avait été élevé sur la croix, lorsque, jetant sur l'assistance un regard de tendresse qui dut s'arrêter avec une complaisance filiale sur Marie, il éleva les mains et les bénit tous. A ce moment ses pieds se détachèrent de la terre, et il s'élevait au ciel. Les assistants le suivaient du regard ; mais bientôt il entra dans une nuée qui le déroba à leurs yeux.

 

 C'en était fait : la terre avait perdu son Emmanuel. Quarante siècles l'avaient attendu, et il s'était rendu enfin aux soupirs des Patriarches et aux vœux enflammés des Prophètes. Nous l'adorâmes, captif de notre amour, dans les chastes flancs de la Vierge bénie. Bientôt l'heureuse mère nous le présenta sous l'humble toit d'une étable à Bethléhem. Nous le suivîmes en la terre d'Egypte, nous l'accompagnâmes au retour, et nous vînmes nous fixer avec lui à Nazareth. Lorsqu'il partit pour exercer sa mission de trois ans dans sa patrie terrestre, nous nous attachâmes à ses pas, ravis des charmes de sa personne, écoutant ses discours et ses paraboles, assistant à ses prodiges. La malice de ses ennemis étant montée à son comble, et l'heure venue où il devait mettre le sceau à cet amour qui l'avait attiré du ciel en terre par la mort sanglante et ignominieuse de la croix, nous recueillîmes son dernier soupir et nous fûmes inondés de son sang divin. Le troisième jour, il s'échappait de son sépulcre vivant et victorieux, et nous étions là encore pour applaudir à son triomphe sur la mort, par lequel il nous assurait la gloire d'une résurrection semblable à la sienne. Durant les jours qu'il a daigné habiter encore cette terre, notre foi ne l'a pas quitté ; nous eussions voulu le conserver toujours ; et voici qu'à cette heure même il échappe à nos regards, et notre amour n'a pu le retenir ! Plus heureuses que nous, les âmes des justes qu'il avait délivrées des limbes l'ont suivi dans son vol rapide, et elles jouissent pour l'éternité des délices de sa présence.

 

Les disciples tenaient encore les yeux fixés au ciel, lorsque soudain deux Anges vêtus de blanc se présentèrent à eux et leur dirent : "Hommes de Galilée, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus qui vous a quittés pour s'élever au ciel reviendra un jour en la même manière que vous l'avez vu monter". Ainsi, le Sauveur est remonté, et le juge doit un jour redescendre : toute la destinée de l'Eglise est comprise entre ces deux termes. Nous vivons donc présentement sous le régime du Sauveur ; car notre Emmanuel nous a dit que "le fils de l'homme n'est pas venu pour juger le monde, mais afin que le monde soit sauvé par lui" ; et c'est dans ce but miséricordieux que les disciples viennent de recevoir la mission d'aller par toute la terre et de convier les hommes au salut, pendant qu'il en est temps encore.

 

 Quelle tâche immense Jésus leur a confiée ! et au moment où il s'agit pour eux de s'y livrer, il les quitte ! Il leur faut descendre seuls cette montagne des Oliviers d'où il est parti pour le ciel. Leur cœur cependant n'est pas triste ; ils ont Marie avec eux, et la générosité de cette mère incomparable se communique à leurs âmes. Ils aiment leur Maître ; leur bonheur est désormais de penser qu'il est entré dans son repos. Les disciples rentrèrent dans Jérusalem, "remplis d'une vive allégresse", nous dit saint Luc, exprimant par ce seul mot l'un des caractères de cette ineffable fête de l'Ascension, de cette fête empreinte d'une si douce mélancolie, mais qui respire en même temps plus qu'aucune autre la joie et le triomphe.

   

DOM GUÉRANGER
L'Année Liturgique

 

 

Scènes de la vie du Christ par Giotto : L'Ascension

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 10:15

Une tradition descendue des premiers siècles et confirmée par les révélations des saints, nous apprend que l'heure de l'Ascension du Sauveur fut l'heure de midi. Les Carmélites de la réforme de sainte Thérèse honorent d'un culte particulier ce pieux souvenir. A l'heure où nous sommes, elles sont réunies au chœur, vaquant debout à la contemplation du dernier des mystères de Jésus, et suivant l'Emmanuel de la pensée et du cœur aussi haut que son vol divin l'emporte.

 

 Suivons-le aussi nous-mêmes ; mais avant de fixer nos regards sur le radieux midi qui éclaire son triomphe, revenons un moment par la pensée à son point de départ. C'est à minuit, au sein des ténèbres, qu'il éclata tout à coup dans l'étable de Bethléhem. Cette heure nocturne et silencieuse convenait au début de sa mission. Son œuvre tout entière était devant lui, et trente-trois années devaient être employées à l'accomplir. Cette mission se déroula année par année, jour par jour, et elle allait touchant à sa fin, lorsque les hommes, dans leur malice, se saisirent de lui et l'attachèrent à une croix. On était au milieu du jour, lorsqu'il parut élevé dans les airs ; mais son Père ne voulut pas que le soleil éclairât ce qui était une humiliation et non un triomphe. D'épaisses ténèbres couvrirent la terre entière ; cette journée fut sans midi. Quand le soleil reparut, il était déjà l'heure de None. Trois jours après, il sortait du tombeau aux premiers rayons de l'aurore.

 

 Aujourd'hui, à ce moment même, son œuvre est consommée. Jésus a payé de son sang la rançon de nos péchés, il a vaincu la mort en ressuscitant glorieux ; n'a-t-il pas le droit de choisir pour son départ l'heure où le soleil, son image, verse tous ses feux et inonde de lumière cette terre que son Rédempteur va échanger pour le ciel ? Salut donc, heure de midi deux fois sacrée, puisque tu nous redis chaque jour et la miséricorde et la victoire de notre Emmanuel ! Gloire à toi pour la double auréole que tu portes : le salut de l'homme par la croix, et l'entrée de l'homme au royaume des cieux !

 

Mais n'êtes-vous pas aussi vous-même le Midi de nos âmes, ô Jésus, Soleil de justice ! Cette plénitude de lumière à laquelle nous aspirons, cette ardeur de l'amour éternel qui seul peut nous rendre heureux, où les trouverons-nous, sinon en vous qui êtes venu ici-bas éclairer nos ténèbres et fondre nos glaces ? Dans cette espérance, nous écoutons les mélodieuses paroles de Gertrude votre fidèle épouse, et nous sollicitons la grâce de pouvoir un jour les répéter après elle :

 

 " Ô amour, ô Midi dont l'ardeur est si douce, vous êtes a l'heure du repos sacré, et la paix entière que l'on goûte en vous fait nos délices. 

 

" Ô mon Bien-Aimé, élu et choisi au-dessus de toute créature, faites-moi savoir, montrez-moi le lieu où vous paissez votre troupeau, où vous prenez votre repos à l'heure de midi.

 

" Mon cœur s'enflamme à la pensée de vos doux loisirs à ce moment. Oh ! s'il m'était donné d'approcher de vous assez près pour n'être plus seulement près de vous, mais en vous !

 

" Par votre influence, ô Soleil de justice, toutes les fleurs des vertus sortiraient de moi qui ne suis que cendre et poussière.

 

" Fécondée par vos rayons, ô mon Maître et mon Epoux, mon âme produirait les nobles fruits de toute perfection.

 

"Enlevée de cette vallée de misère, admise à contempler vos traits si désirés, mon bonheur éternel serait de penser que vous n'avez pas dédaigné, ô miroir sans tache, de vous unir à une pécheresse telle que moi."

 

(Exercitia S. Gertrudis. Die V.)

 

 

DOM GUÉRANGER
L'Année Liturgique

 

Ascension du Christ

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 07:00

Jésus ressuscité, apparaissant à ses disciples, leur disait :

 

" Il fallait que s'accomplisse ce qui était annoncé par l'Écriture ; les souffrances du Messie, sa résurrection d'entre les morts le troisième jour, et la conversion proclamée en son nom pour le pardon des péchés à toutes les nations, en commençant par Jérusalem.

 

C'est vous qui en êtes les témoins.

 

Et moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis.

 

Quant à vous, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus d'une force venue d'en haut."

 

Puis il les emmena jusque vers Béthanie et, levant les mains, il les bénit. Tandis qu'il les bénissait, il se sépara d'eux et fut emporté au ciel.

 

Ils se prosternèrent devant lui, puis ils retournèrent à Jérusalem, remplis de joie. Et ils étaient sans cesse dans le Temple à bénir Dieu.

 

 

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc

 

 

Ascension du Seigneur

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 22:55

Benoît XVI entame son pèlerinage à Fatima sous les vivats
De Catherine JOUAULT (AFP) – Il y a 7 heures (extraits)

 

Faithful attend the recitation of the Holy Rosary ... 

 

FATIMA — Le pape Benoît XVI a entamé mercredi après-midi, sous les vivats d'une foule immense, son pèlerinage à Fatima, symbole du Portugal catholique, quelques heures après avoir mis en garde contre les conséquences "dramatiques" d'une perte des valeurs chrétiennes.

 

 L'hélicoptère de Benoît XVI a atterri à 17H15 à Fatima après avoir survolé à basse altitude le sanctuaire, acclamé par des dizaines de milliers de pèlerins agitant drapeaux et mouchoirs.

 

 Le pape s'est aussitôt rendu en papamobile jusqu'à la Chapelle des apparitions, érigée à l'endroit où la Vierge serait apparue le 13 mai 1917 à trois petits bergers.

 

Accueilli aux cris de "Viva o papa!", Benoît XVI s'est recueilli à la Chapelle des apparitions avant de prononcer une prière, à genoux devant la statue de la Vierge à qui il a offert une rose d'or, comme l'avait fait Paul VI, le 13 mai 1967.

 

Jean Paul II, convaincu que la Vierge de Fatima lui avait sauvé la vie lors de l'attentat commis contre lui le 13 mai 1981 à Rome, a offert au sanctuaire la balle qui l'avait grièvement blessé, aujourd'hui enchâssée dans la couronne de la statue.

 

Dans sa prière, Benoît XVI a évoqué ces événements : "c'est une profonde consolation pour nous de savoir que tu es couronnée, non seulement avec l'argent et l'or de nos joies et de nos espérances, mais aussi avec le projectile qui symbolise nos préoccupations et nos souffrances".

 

Selon la foi catholique, la Vierge aurait révélé trois "secrets", jugés prophétiques de l'Histoire du XXe siècle. Si les deux premiers "secrets" étaient connus depuis le début des années 40, le troisième n'a été rendu public qu'en mai 2000, à l'occasion de la visite de Jean Paul II, la hiérarchie catholique "révélant" alors qu'il prédisait l'attentat contre le pape polonais.

 

 Mardi matin, dans l'avion qui l'amenait à Lisbonne, Benoît XVI avait élargi "l'interprétation" de ce secret. Il avait estimé qu'"en plus de cette grande vision de la souffrance du pape", le message de Fatima annonçait les "souffrances de l'Eglise" parmi lesquelles le scandale créé par la révélation de multiples cas de pédophilie dans le clergé, aggravés par l'omerta de la hiérarchie.

 

Mercredi soir, célébrant les vêpres avec plusieurs milliers de membres du clergé portugais, le pape les a appelés à rester "fidèles" à leur "vocation et à s'aider réciproquement à rester debout."

 

" Réservez une attention particulière aux situations d'affaiblissement des idéaux sacerdotaux ou bien au fait de se consacrer à des activités qui ne s'accordent pas complètement avec ce qui est le propre d'un ministre de Jésus Christ", leur a-t-il conseillé lors de vêpres dans l'Eglise de la Très Sainte Trinité, l'une des plus grandes au monde avec 9.000 places assises.

 

La journée de Benoît XVI s'est conclue par une veillée aux flambeaux et une récitation du chapelet, devant une marée de cierges portés par des dizaines de milliers de personnes massées sur la vaste esplanade.

 

AFP- extraits de la dépêche 

  

Pilgrims pray at the Catholic shrine of Fatima

Pilgrims pray at the Catholic shrine of Fatima May 12, 2010 

People arrive at Fatima sanctuary ahead of Pope ...

People arrive at Fatima sanctuary ahead of Pope Benedict XVI visit, Portugal, Wednesday, May 12, 2010

 

 

Pope rallies priests as crowds flock to Fatima

Pope Benedict XVI arrives at the Prayer Area in Fatima's Basilica to pray at the Little Chapel of Apparitions in Fatima, May 12, 2010  

Pope Benedict XVI prays in front of the image ...

Pope Benedict XVI prays in front of the image of Our Lady of Fatima after arriving to Catholic Fatima shrine in central Portugal May 12, 2010

Pope Benedict XVI prays in front of the image ...

Pope Benedict XVI (C) prays in front of the image of Our Lady of Fatima (L) after arriving to Catholic Fatima shrine in central Portugal May 12, 2010  

Pope Benedict XVI prays to the virgin of Fatima ...

Pope Benedict XVI prays to the virgin of Fatima during his visit at Fatima's Sanctuary, Portugal, Wednesday, May 12, 2010 

Pope Benedict XVI prays in front of the image ...

Pope Benedict XVI prays in front of the image of Our Lady of Fatima after arriving to Catholic Fatima shrine in central Portugal May 12, 2010 

Pope rallies priests as crowds flock to Fatima

Pope Benedict XVI prays in front of the Madonna statue in Fatima, May 12, 2010 

Pope Benedict XVI prays after arriving to Fatima ... 

Pope Benedict XVI prays in front of the image of Our Lady of Fatima after arriving to catholic Fatima shrine in central Portugal, May 12, 2010   

Pope Benedict XVI prays in front of the image ...

Pope Benedict XVI prays in front of the image of Our Lady of Fatima after arriving to Catholic Fatima shrine in central Portugal May 12, 2010 

Pope Benedict XVI stands by the statue of Our ...

Pope Benedict XVI stands by the statue of Our Lady of Fatima soon after arriving at the Roman Chatolic shrine in Fatima, central Portugal, Wednesday, May 12 2010

Pope Benedict XVI prays in front of the image ...

 

  

Pope Benedict XVI waves during a Vespers prayer ...

Pope Benedict XVI waves as he attends a Vespers prayer at the Santissima Trindade church in the Catholic shrine of Fatima May 12, 2010.

Pope Benedict XVI attends a Vespers prayer at ...

Pope Benedict XVI attends a Vespers prayer at the Church of Santissima Trindade in the Catholic shrine of Fatima, May 12, 2010

Pope Benedict XVI attends a Vespers prayer at ...

Pope Benedict XVI attends a Vespers prayer at the Church of Santissima Trindade in the Catholic shrine of Fatima May 12, 2010  

Pope Benedict XVI arrives for a Vespers prayer ...

Pope Benedict XVI arrives for a Vespers prayer at the Church of Santissima Trindade in the Catholic shrine of Fatima, May 12, 2010

Pope Benedict XVI

Pope Benedict XVI, left, celebrates vespers with priests in the Most Holy Trinity Church at Fatima's Sanctuary, Portugal, Wednesday, May 12, 2010 

Pope Benedict XVI attends a Vespers prayer at ...

Pope Benedict XVI attends a Vespers prayer at the Church of Santissima Trindade in the Catholic shrine of Fatima, May 12, 2010

 

 

Faithful gather at Fatima's Sanctuary, Wednesday, ...

Faithful gather at Fatima's Sanctuary, Wednesday, May 12 2010, for a candle light vigil presided over by Pope Benedict XVI

Faithful gather at Fatima's Sanctuary, Wednesday, ...

 

Pilgrims await the arrival of Pope Benedict XVI ...

 

Faithful attend the blessing of the candles ceremony ...

Faithful attend the blessing of the candles ceremony conducted by Pope Benedict XVI at Fatima's Sanctuary, Portugal, on Wednesday, May 12, 2010

Faithful attend the blessing of the candles ceremony ...

 

Pilgrims attend a candlelight vigil at the Catholic ...

 

A pilgrim attends a candlelight vigil at the ...

 

A pilgrim holds a candle with a photo of Pope ... 

 

Faithful attend the blessing of the candles ceremony ...

Faithful attend the blessing of the candles ceremony conducted by Pope Benedict XVI at Fatima's Sanctuary, Portugal, on Wednesday, May 12, 2010

Pope Benedict XVI rides on the Popemobile as ...

Pope Benedict XVI rides on the Popemobile as he arrives at Fatima's Sanctuary, Wednesday, May 12, 2010 during a candle light vigil

Faithful attend the blessing of the candles ceremony ...

 

A statue of Our Lady of Fatima is carried during ...

A statue of Our Lady of Fatima is carried during a candlelight vigil at the Catholic shrine of Fatima in central Portugal May 12, 2010

 

Pope Benedict XVI attends a candlelight vigil ...

Pope Benedict XVI leads the recitation of the Holy Rosary during a candlelight vigil at the Catholic shrine of Fatima in central Portugal May 12, 2010

Pope Benedict XVI attends a candlelight vigil ...

 

Pope Benedict XVI prays in front of an image ...

 

Pope Benedict XVI prays during a candlelight ...

  

Pope Benedict XVI holds a rosary as he prays ...

 

Pope Benedict XVI leaves after a candlelight ...

Pope Benedict XVI waves as he leaves after the recitation of the Holy Rosary during a candlelight vigil at the Catholic shrine of Fatima in central Portugal May 12, 2010 

Pope Benedict XVI rides on the Popemobile as ...

 

 

 

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 16:15

A l'ouest de Lisbonne, dans le quartier de Belém, cet ensemble, composé de l'église Santa Maria et du célèbre monastère des Hiéronymites, est un chef d'oeuvre de l'architecture manuéline.

 

Sur l'emplacement d'un ermitage fondé par Henri le Navigateur, le roi Manuel Ier entreprit en 1502, un peu après le retour de Vasco de Gama de son premier voyage en Inde, de bâtir un magnifique monastère destiné aux religieux de l'ordre des hiéronymites, ordre des ermites de Saint-Jérôme.

 

Visite du mardi 11 mai en photos : 

People shelter under umbrellas while waiting ...

People shelter under umbrellas while waiting for the arrival of Pope Benedict XVI outside Lisbon's Jeronimos Monastery Tuesday, May 11 2010.

Pope says Church persecution comes ...

People wait for the arrival of Pope Benedict XVI at Jeronimos Monastery in Lisbon

Benedict XVI, Anibal Cavaco Silva

Faithful wait for the arrival of Pope Benedict XVI at Lisbon's Jeronimos Monastery, Tuesday, May 11 2010

Pope Benedict XVI waves from his car , escorted ...

Pope Benedict XVI waves from his car , escorted by security personnel , while leaving a welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery, Tuesday, May 11, 2010

Pope Benedict XVI waves from his car while leaving ...  

 

Pope Benedict XVI poses along Portugals ...

Pope Benedict XVI poses next to Portugal's President Anibal Cavaco Silva during the official welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery May 11, 2010 

Pope Benedict XVI stands on a stage beside Portugals ...

Pope Benedict XVI stands on a stage beside Portugal's President Anibal Cavaco Silva during the official welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery May 11, 2010 

Pope Benedict XVI, in white in the tribune, ...

Pope Benedict XVI, in white in the tribune, stands next to Portuguese President Anibal Cavaco Silva watching a military parade during a welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery Tuesday, May 11, 2010

Pope Benedict XVI stands on a stage at Lisbons ...

Pope Benedict XVI stands on a stage beside Portugal's President Anibal Cavaco Silva during the official welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery May 11, 2010

A honour guard of Portuguese military personnel ...

A honour guard of Portuguese military personnel stands in the pouring rain while waiting for the arrival of Pope Benedict XVI for a welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery, Tuesday, May 11 2010 

Pope Benedict XVI waves on stage at Lisbons ...

Pope Benedict XVI waves on a stage beside Portugal's President Anibal Cavaco Silva during the official welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery May 11, 2010

Pope Benedict XVI waves during the official welcome ...

Pope Benedict XVI waves on a stage during the official welcome ceremony at Lisbon's Jeronimos Monastery May 11, 2010

Crowds cheer beleaguered Papa in Portugal

Pope Benedict XVI visits the Jeronimos Monastery cloisters flanked by Lisbon Archbishop D. Jose Policarpo and the priest Jose Manuel dos Santos Ferreira in Lisbon

Pope Benedict XVI chats with Lisbon Archbishop ...

Pope Benedict XVI (C) chats with Lisbon Archbishop Jose Policarpo (L) and the priest Jose Manuel dos Santos Ferreira inside the Jeronimos Monestary in Lisbon May 11, 2010

 

 

Pope Benedict XVI prays in the Jeronimos Monastery ...

Pope Benedict XVI prays in the Jeronimos Monastery after the official welcome ceremony in Lisbon May 11, 2010

 

 

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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 22:55

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI holds his staff during a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

 

" La résurrection du Christ nous assure qu'aucune puissance adverse ne pourra jamais détruire l'Église", a déclaré le pape Benoît XVI à Lisbonne, après avoir précisé, dans l'avion de Rome, que la plus grande menace pour l'Eglise, c'est le péché qui se trouve à l'intérieur d'elle-même.

 

Il a appelé à un renouveau de la misison.

 

 Une impressionnante ovation s'est élevée de la foule : le pape s'apprêtait à donner la bénédiction finale lorsque des dizaines de milliers de personnes l'ont acclamé, après quelque deux heures de célébration, ce mardi soir, lors de la messe présidée sur l'esplanade du "Terreiro do Paço". L'ovation a repris après la bénédiction finale : 'Vive le pape !'

 

extrait de l'article de Zenit : Pour Benoît XVI, la force de l’Eglise, c’est la Résurrection du Christ  

 

 

A crowd of people cheer as Pope Benedict XVI ...

A crowd of people cheer as Pope Benedict XVI arrives for a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010 

Thousands watch Pope Benedict XVI on a video ...

Thousands watch Pope Benedict XVI on a video screen at Lisbon's Terreiro do Paco square, on the Tafus river bank, while waiting for him to arrive to celebrate an open mass Tuesday, May 11 2010  

Nuns sing songs as they wait for the arrival ...

Nuns sing songs as they wait for the arrival of Pope Benedict XVI at the Terreiro do Paco square to participate in an open mass in Lisbon on Tuesday, May 11, 2010

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon, May 11, 2010

Pope Benedict XVI arrives for a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI arrives for a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

Pope Benedict XVI arrives for a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI waves as he arrives for a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010  

Pope Benedict XVI waves as he arrives for a mass ...

Pope Benedict XVI waves as he arrives for a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon, May 11, 2010

Pope Benedict XVI waves as he arrives for a mass ...

Pope Benedict XVI waves as he arrives for a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

Pope Benedict XVI gestures as he arrives at Lisbon's ...

Pope Benedict XVI gestures as he arrives at Lisbon's Terreiro do Paco square to celebrate an open mass Tuesday, May 11 2010.

Pope Benedict XVI waves as he arrives for a mass ...

Pope Benedict XVI waves as he arrives for a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

Pope Benedict XVI stands at the start of a mass ...

Pope Benedict XVI stands at the start of a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

Pope Benedict XVI

Pope Benedict XVI waves after an open mass at the Terreiro do Paco square in Lisbon on Tuesday, May 11, 2010 

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010 

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon, May 11, 2010.

Pope Benedict XVI delivers a speech before celebrating ...

Pope Benedict XVI delivers a speech before celebrating an open air mass at Lisbon's Terreiro do Paco square Tuesday, May 11 2010

Pope Benedict XVI

Pope Benedict XVI conducts mass at the Terreiro do Paco square in Lisbon Tuesday, May 11, 2010.

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro ...

Pope Benedict XVI celebrates a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

   

 

Pope Benedict XVI, center, celebrates an open ...

 

Benedict XVI

 

Pope Benedict XVI holds the host as he celebrates ... 

   

 

Pope Benedict XVI celebrates an open mass at ...

Pope Benedict XVI celebrates an open mass at Lisbon's Terreiro do Paco square Tuesday, May 11 2010 

Pope Benedict XVI gives the communion to a girl ...

Pope Benedict XVI gives the communion to a girl during a mass at the Terreiro do Paco in Lisbon May 11, 2010

Pope Benedict XVI

Pope Benedict XVI waves after an open mass at the Terreiro do Paco square in Lisbon on Tuesday, May 11, 2010

Pope Benedict XVI

Pope Benedict XVI waves after an open mass at the Terreiro do Paco square in Lisbon on Tuesday, May 11, 2010

Pope Benedict XVI waves at the end of a mass ...

Pope Benedict XVI waves at the end of a mass at Terreiro do Paco in Lisbon, May 11, 2010 

Pope Benedict XVI

Pope Benedict XVI waves after an open mass at the Terreiro do Paco square in Lisbon on Tuesday, May 11, 2010 

Pope Benedict XVI waves to the crowd as he leaves ...

Pope Benedict XVI waves to the crowd as he leaves after a mass at Terreiro do Paco in Lisbon, May 11, 2010.

Pope Benedict XVI waves as he leaves Lisbon's ...

Pope Benedict XVI waves as he leaves Lisbon's Terreiro do Paco square after an open mass at the Terreiro do Paco square in Lisbon Tuesday, May 11, 2010 

 

 

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