La veuve de Philippe Le Bon essaya en 1811 de renouveler rue de Bercy, dans le faubourg Saint-Antoine, les expériences du thermolampe ; elle y réussit, attira la foule, qui s’émerveilla. L’Académie des Sciences fit un rapport auquel prirent part Gérando...
Lire la suiteL’admirable découverte à laquelle nous devons le gaz, avec toutes les forces éclairantes, chauffantes et motrices qu’il comporte, est due à un Français, à Philippe Le Bon. C’était un ingénieur des ponts et chaussées très intelligent, inventeur de génie,...
Lire la suiteExposition Roman Vishniac jusqu'au 25 janvier 2015 De Berlin à New York, 1920-1975 au Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme, 71 rue du Temple, Paris IIIe http://www.mahj.org/fr/index.php Berlin Alexanderplatz, 1934 Wittenbergplatz, Berlin, 1936 Le grand-père...
Lire la suiteLes cochers n’aimaient point les réverbères et pestaient contre eux ; en effet, les conducteurs de fiacre, les postillons de diligence et de malle-poste, y accrochaient leur fouet, et bien souvent n’emportaient qu’un manche, car la lanière entortillée...
Lire la suiteQuoi qu’il en soit de ces faits, les réverbères restaient d’assez ternes lumières que déjà l’industrie privée avait fait en matière d’éclairage un progrès considérable. Les lampes n’étaient autrefois qu’un récipient plein d’huile dans lequel trempait...
Lire la suiteOn généralisa tant que l’on put l’emploi des réverbères : les goûts de la nouvelle cour y contribuèrent. « Marie-Antoinette et le comte d’Artois, dit Bachaumont, étant spécialement souvent en route, la nuit, de Versailles à Paris et de Paris à Versailles»...
Lire la suiteCe genre d’éclairage était bien insuffisant, et plus de la moitié des rues restait dans l’ombre ; Sterne le constate dans le livre charmant que tout le monde a lu. Il est venu deux fois en France, en 1762 d’abord, puis en 1764 ; il a raconté sa seconde...
Lire la suiteÉcoutez une autre parabole : Il y avait un père de famille, qui ayant planté une vigne, l’enferma d’une haie, et creusant dans la terre, il y fit un pressoir, et y bâtit une tour : puis l’ayant louée à des vignerons, il s’en alla en un pays éloigné. Or...
Lire la suiteJusqu’alors la bourgeoisie parisienne avait fourni aux frais nécessités par le nettoiement et l’éclairage des rues à l’aide d’une taxe consentie, qui s’élevait à la somme de 300,000 livres ; mais en 1704, à l’heure la plus ardente de la guerre de succession,...
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