Psaume 136 - Si je t'oublie Jérusalem

   
 
Psaume 136
 
Au bord des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions, nous souvenant de Sion ;
aux saules des alentours nous avions pendu nos harpes.
 
C'est là que nos vainqueurs nous demandèrent des chansons, et nos bourreaux, des airs joyeux : 
" Chantez-nous, disaient-ils, quelque chant de Sion. "
 
Comment chanterions-nous un chant du Seigneur sur une terre étrangère ?
 
Si je t'oublie, Jérusalem, que ma main droite m'oublie !
Je veux que ma langue s'attache à mon palais si je perds ton souvenir,
si je n'élève Jérusalem, au sommet de ma joie.
 
 
 
Psaume 137

De tout mon coeur, Seigneur, je te rends grâce :
tu as entendu les paroles de ma bouche.
 
Je te chante en présence des anges,
vers ton temple sacré, je me prosterne.
 
Je rends grâce à ton nom pour ton amour et ta vérité,
car tu élèves, au-dessus de tout, ton nom et ta parole.
 
Le jour où tu répondis à mon appel, tu fis grandir en mon âme la force.
 
Tous les rois de la terre te rendent grâce quand ils entendent les paroles de ta bouche.
Ils chantent les chemins du Seigneur : " Qu'elle est grande, la gloire du Seigneur ! "
 
Si haut que soit le Seigneur, il voit le plus humble ;
de loin, il reconnaît l'orgueilleux.
 
Si je marche au milieu des angoisses, tu me fais vivre, ta main s'abat sur mes ennemis en colère.
Ta droite me rend vainqueur.
 
Le Seigneur fait tout pour moi !
Seigneur, éternel est ton amour : n'arrête pas l'oeuvre de tes mains.
 
 
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