L'omniprésente malfaisance

 

Je suis rentré depuis un mois et j'ai connu des hauts et des bas, le lot de toute vie, apparemment du moins sur terre. Je me lève à quatre heures du matin, je poursuis ma nouvelle vocation jusqu'à environ huit heures, puis je m'occupe des réparations de la maison. L'odeur d'incendie est toujours présente mais je m'y habitue, de la même manière que nous apprenons à accepter l'omniprésente malfaisance politique.

 

Jim Harrison, Une odyssée américaine, édition de poche J'ai lu, 2010, traduit par Brice Matthieusent

Jim Harrison

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