QUI SINE PECCATO EST VESTRUM
PRIMUS IN ILLAM LAPIDEM MITTAT
Derrière le procès de la femme, c'est le motif du procès de Jésus que l'on cherche : un motif permettant de
l'accuser, de l'arrêter et peut-être, de parvenir à le faire condamner. On l'intime de répondre : « Toi, que dis-tu ? » (Jn 8,5). Le couperet tombe : « Que celui d'entre-vous qui est sans péché,
lui jette la première pierre » (Jn 8,7). Le procès s'est tout à coup déplacé. Les accusateurs sont devenus les accusés.
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c'est mon préféré de toutes les représentations de cette scène évangélique qui a inspiré de nombreux peintres !<br />
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... cela m'a permis d'apprendre aussi que l'immense tableau de Saint Sulpice représentant la Crucifixion, et que je contemplais durant la lecture de Michael Lonsdale, était... d'Emile Signol<br />
!<br />
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P
philippe
30/03/2009 21:46
et l'histoire continue... ne fait que se répéter..