La femme adultère


QUI SINE PECCATO EST VESTRUM
PRIMUS IN ILLAM LAPIDEM MITTAT




Derrière le procès de la femme, c'est le motif du procès de Jésus que l'on cherche : un motif permettant de l'accuser, de l'arrêter et peut-être, de parvenir à le faire condamner. On l'intime de répondre : « Toi, que dis-tu ? » (Jn 8,5). Le couperet tombe : « Que celui d'entre-vous qui est sans péché, lui jette la première pierre » (Jn 8,7). Le procès s'est tout à coup déplacé. Les accusateurs sont devenus les accusés.



tableau : Emile Signol Réunion des musées nationaux
texte : Yolande Girard Interbible
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N
J’ai pensé à ce très beau tableau d’ Emile Signol à midi à la Messe, grâce à toi qui l’avait mis en ligne ce matin, merci !
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A
<br /> c'est mon préféré de toutes les représentations de cette scène évangélique qui a inspiré de nombreux peintres !<br /> <br /> ... cela m'a permis d'apprendre aussi que l'immense tableau de Saint Sulpice représentant la Crucifixion, et que je contemplais durant la lecture de Michael Lonsdale, était... d'Emile Signol<br /> !<br /> <br /> <br />
P
et l'histoire continue... ne fait que se répéter..
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