Le Progrès se réduit finalement à voler à l'homme ce qui l'ennoblit, pour lui vendre au rabais ce qui l'avilit. Nicolás Gómez Dávila, Les horreurs de la démocratie, Anatolia/Éditions du Rocher, 2003, Traduit de l'espagnol par Michel Bibard Macron et ses...
Lire la suiteLa liberté à laquelle aspire l'homme moderne n'est pas celle de l'homme libre, mais celle de l'esclave un jour de fête. Nicolás Gómez Dávila, Le Réactionnaire authentique, éditions du Rocher, 2005 Nicolás Gómez Dávila
Lire la suiteJe ne comprends pas comment on peut être de gauche au sein du monde moderne où tout le monde est plus ou moins de gauche. Nicolás Gómez Dávila, Carnets d’un vaincu, L'Arche Editeur, 2009, Paris - traduit de l’espagnol par Alexandra Templier
Lire la suiteEst cultivé l'homme qui ne fait pas de la culture une profession. Nicolás Gómez Dávila, Les horreurs de la démocratie, Éditions du Rocher, 2003, traduit de l'espagnol par Michel Bibard Fontaine Saint-Sulpice, Louis Visconti
Lire la suiteLe moderne n'a pas de vie intérieure : tout juste des conflits internes. Nicolás Gómez Dávila, Carnets d'un vaincu, L'Arche-Editeur, 2009, Paris, traduit de l’espagnol par Alexandra Templier Place de la République, Paris, avril 2016
Lire la suiteNe pas sentir la putréfaction du monde moderne est un signe de contamination. Nicolás Gómez Dávila , Les horreurs de la démocratie, éditions du Rocher, coll. Anatolia, 2003
Lire la suiteNe pas sentir la putréfaction du monde moderne est un signe de contamination. Nicolás Gómez Dávila, Les Horreurs de la démocratie , éditions du Rocher, 2003 Chez Nicolás Gómez Dávila, à Bogota : " Sa bibliothèque était le centre de sa maison, un lieu...
Lire la suiteRien ne subsiste du christianisme lorsque le chrétien s'évertue à ne pas paraître niais au reste du monde. Nicolás Gómez Dávila
Lire la suiteLe moderne croit vivre dans un pluralisme d'opinion tandis qu'il ne règne guère aujourd'hui qu'une unanimité asphyxiante. Nicolás Gómez Dávila
Lire la suiteLa vie est un combat quotidien contre notre propre stupidité. Nicolás Gómez Dávila
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