Paris a pris ses quartiers d'été et même ses quartiers de gaieté, Saint Germain des Prés ressemblerait presque à ce qu'il a été à voir ses terrasses de café pleines et ses jolies femmes habillées comme au temps du Tabou, la mode sans doute, en ces temps...
Lire la suiteLa religion est l’opium du peuple : relisez Marx ! C’est en ces termes qu’au début de l’année 2010, le NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste) fut renvoyé à ses chères études par un chœur unanime composé, entre autres, d’Aurélie Filippetti, Nadine Morano,...
Lire la suiteÀ la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la...
Lire la suiteJe n'avais pas encore terminé ma déambulation. Ma soif de me perdre dans un trajet maintes fois revisité n’était pas encore étanchée. Le vendredi soir est un curieux moment. La nuit devient une sorte d’énigme quand le jour vient la relayer et que le samedi...
Lire la suiteL'athée a ceci de commun avec le fondamentaliste : il parle de Dieu avec autant de facilité. De fait, un athée véridique, militant, un athée comme je les aime, prêt à croiser le fer, ne cesse d'avoir ce mot à la bouche. C'est d'ailleurs le vrai problème...
Lire la suiteDieu peut-il être un sujet de conversation ? Fabrice Hadjadj, qui se présente lui-même comme un "philosophe juif, de nom arabe et de confession catholique", apporte une réponse personnelle, avec une lucidité associée à "une espérance indestructible"....
Lire la suiteJ'ai décidé de rentrer, j’étais fatigué de cette promenade, non pas physiquement, mais mon humeur s’était assombrie. La pièce où j’écrivais me paraissait à présent beaucoup plus agréable. J’ai baissé les yeux et j’ai marché lentement, en me fiant à la...
Lire la suiteLa crise modifie en profondeur le visage de la Grèce, et n'épargne pas même le champ de la création. Ayant un soir constaté qu'il n'arrivait plus à écrire de la fiction, Christos Chryssopoulos a abandonné sur son bureau la page blanche autour de laquelle...
Lire la suite" Regardons autour de nous : combien de blessures le mal inflige-t-il à l’humanité ! Guerres, violences, conflits économiques qui frappent celui qui est plus faible, soif d’argent, que personne ne peut emporter avec soi, on doit le laisser. Ma grand-mère...
Lire la suite" Certains pessimistes, particulièrement imaginatifs, comparèrent l'Europe de l'après-guerre à ces façades intactes derrière lesquelles s'amoncelaient les ruines... de l'esprit et de la morale." Sándor Márai, Mémoires de Hongrie, Le Livre de Poche Sándor...
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