... ou un peu du charme de la vieille Pologne et du bon air de la mer pour respirer un peu hors de cette atmosphère de putréfaction dans laquelle nous fait vivre le socialisme-national, ses ministres socialistes-nationaux, et autre président en fureur....
Lire la suiteJ’aime l’automne, cette triste saison va bien aux souvenirs. Quand les arbres n’ont plus de feuilles, quand le ciel conserve encore au crépuscule la teinte rousse qui dore l’herbe fanée, il est doux de regarder s’éteindre tout ce qui naguère encore brûlait...
Lire la suiteLe paradis, on ne l'a pas perdu seulement avec Adam et Ève, on le perd tous les jours. Álvaro Mutis J'ai découvert et habité pendant une semaine deux îles magnifiques qui sont dans la mer des Antilles, face à la côte Atlantique de la Colombie : San Andrés...
Lire la suiteLa race d'où il sortait est une des moins religieuses de la France, quoiqu'une des plus attachées aux pratiques extérieures et traditionnelles du culte. L'influence du sol, du climat, est ici nettement visible : les Danois demeurés dans leur pays ont...
Lire la suiteC'était vers les dernières années de la Restauration. La demie de huit heures, comme on dit dans l’Ouest, venait de sonner au clocher, pointu comme une aiguille et vitré comme une lanterne, de l’aristocratique petite ville de Valognes. Le bruit de deux...
Lire la suiteAu onzième siècle, nous buvions du vin du crû, à la vérité assez rude, puisqu’il méritait le surnom "d’arrache-boyau". Nous avions des vignes, qui cédèrent peu à peu quand les grands abris forestiers diminuèrent d’épaisseur ; quand aussi les empiètements...
Lire la suiteLa Normandie fut pour moi une personne, beaucoup plus qu'une fraternité. Je la vois féminine, et moins encore par sa désignation que par son être intime, féminine par sa diversité physique et morale sans doute et par la passion qu'elle entretient chez...
Lire la suite" J’avais bien cinq ans, lorsque je me rendis pour la première fois à Sainte-Anne d’Auray. On y célébra une messe suivie d’un Te Deum. On y était arrivés par cars et en chars à bancs. Notre mère avait mis ses grands habits : coiffe de reine, robe de velours,...
Lire la suite... comme l'affirme un dramaturge dublinois : « Ici, nous n'avons que trois aliments : la pomme de terre, l'alcool et la littérature.» Depuis qu'il a reçu le prix Nobel de littérature 1995, on l'appelle Famous Seamus. Le célèbre Seamus. A Dublin, à Belfast...
Lire la suiteDernier rendez-vous avec le 19ème siècle ! Il se déroulera en compagnie d'un conférencier unique-Henri Guillemin-et de deux poètes : Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. De Verlaine, qui a peur de...
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