Les cochers et les conducteurs d’omnibus sont, comme les cochers de fiacre, soumis à la double autorité de leur administration et de la préfecture de police. Les peines disciplinaires sont les mêmes : l’amende, la mise à pied et l’exclusion. Ils gagnent...
Lire la suiteLe service des omnibus comprend trente et une lignes qui, se rencontrant en correspondance à leurs points d’intersection, sillonnent absolument tout Paris. Ces lignes sont loin d’avoir toutes la même importance, et c’est là peut-être que le monopole accordé...
Lire la suiteSi l’entreprise générale est peu volée, en revanche on vole beaucoup dans les omnibus. Ces grandes boîtes longues, mouvantes et secouées, où l’attention est sollicitée par le bruit et par le spectacle des rues que l’on traverse, où l’on est forcément...
Lire la suiteL’entreprise générale fabrique ses voitures d’après un type imposé par la préfecture de la Seine. Ses ateliers sont situés à La Chapelle-Saint-Denis et sont fournis de tous les instruments que la science moderne offre à l’industrie. Un omnibus prêt à...
Lire la suiteC’est entre six et sept heures du matin qu’il faut voir ces larges cours, où les poules se promènent en caquetant et en cherchant pâture. Les chevaux de service achèvent de manger l’avoine ; on les harnache après les avoir frottés d’un dernier coup d’étrille...
Lire la suiteLa cavalerie de l'administration des omnibus, composée actuellement de 9 656 animaux, provient de Normandie, du Perche, des Ardennes et de Bretagne. Ils sont tous abondamment nourris, car le prix de chaque ration revient à 2 francs 59 centimes. Les omnibus...
Lire la suiteEn 1855, l’entreprise avait dans Paris 347 voitures, qui ont transporté 36 000 000 de voyageurs ; en 1866, elle en a 664, qui ont transporté 107 212 074 personnes. Si à cette circulation exclusivement parisienne on ajoute celle de la banlieue (3 430 252)...
Lire la suiteIl fallut attendre bien des années avant de les retrouver, et ce n’est pas à Paris qu’ils se montrent, c’est à Nantes, en 1826. Ils y obtinrent un succès qui engagea l’entrepreneur à demander de les établir à Paris. M. Baudry, qui venait de remettre au...
Lire la suiteDans une fourmilière comme Paris, toujours agitée, où les minutes valent des heures, où les distances sont parfois excessives, le seul service des voitures de louage marchant à la course et à l’heure ne pouvait suffire. Il est naturel qu’on ait pensé...
Lire la suiteLa fourrière n’est pas le seul local où l’on dépose les épaves ; il en est un autre spécialement destiné à recevoir les objets oubliés dans les voitures de louage ; il est situé à la préfecture de police même et ne chôme guère : c’est un va-et-vient perpétuel....
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