Mais c'est assez rappeler de tristes souvenirs : puisse du moins l'innovation liturgique du XVIIIe siècle, apparaissant telle qu'elle est, dans ses motifs, dans ses auteurs, dans ses agents, être jugée de nos jours, comme elle le sera par devant tout...
Lire la suiteMais c'est assez ; il nous en coûterait trop de prolonger cette apologie de l'Église romaine, et nous voulons croire pieusement que Symon de Doncourt, s'il vivait aujourd'hui, serait le premier à réfuter sa propre découverte, dont le résultat final n'a...
Lire la suiteRentrons en France pour y être témoins des efforts des organisateurs des ennemis de la Liturgie romaine. Encore quarante ans, et les débris de l’ancienne société française seront épars sur le sol. Le vertige est dans toutes les têtes ; ceux-la mêmes qui...
Lire la suiteApprenons donc à connaître la raison sublime de cette patience du Siège apostolique, et souvenons-nous que ce n'est pas la sagesse humaine, mais la divine et éternelle sagesse qui a donné ce conseil à ceux qu'elle envoyait au milieu des hommes : Soyez...
Lire la suiteDans le cours des quatre chapitres que nous venons de consacrer à l’histoire de la Liturgie, dans la première moitié du XVIIIe siècle, nous avons eu à nous occuper que de la France. Ce pays tout seul a été le théâtre de la triste révolution dont nous...
Lire la suiteNous voyons encore, au XVIIe siècle, la mémoire de saint Grégoire VII outragée dans un État catholique, en Portugal. Il ne paraît pas cependant qu'on y ait proscrit la légende ; mais un homme plus téméraire, Antoine Pereira de Figueiredo, entre les nombreux...
Lire la suiteIl nous tarde de finir le honteux récit des outrages qu'eut à subir en France, au XVIIIe siècle, la mémoire de l'incomparable pontife. Hâtons-nous donc de dire que l'évêque de Montpellier, dans son courroux contre l'Assemblée qui avait refusé de s'associer...
Lire la suiteLa nouvelle de ce bref arriva bientôt en France et ne tarda pas d'exciter la fureur des suppôts du gallicanisme. Le parlement de Paris rendit en date du 23 février 1730, un arrêt contre la publication, distribution et exécution de ce bref, ainsi que de...
Lire la suiteQuant à Benoît XIII lui-même, que M. de Metz appelle un saint pontife, jugement que l'histoire a du moins confirmé, il ne parut pas fort disposé à laisser croire que les actes les plus importants de son gouvernement s'accomplissaient à son insu. Nous...
Lire la suiteMais il est temps de révéler au lecteur cette monstrueuse légende qui mettait ainsi en péril les vérités révélées. Les pages que l'on va lire sont belles sans doute, pleines de noblesse et d'une éloquente simplicité : elles sont. pourtant moins énergiques...
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