Nous venons d'entendre le témoignage des historiens contemporains, sur l'opinion de sainteté qui environnait Grégoire VII durant sa vie, et après sa mort ; suivons maintenant à travers les siècles les différentes manifestations de cette persuasion qui,...
Lire la suiteTelle fut la situation fausse dans laquelle les novateurs placèrent la Liturgie en France, qu'on les entendit eux-mêmes rendre témoignage contre leur œuvre, et s'unir aux partisans de l'antiquité qui regrettaient la perte des livres grégoriens. Nous plaçons...
Lire la suiteC'est assez parler des nouveaux livres de chant par lesquels furent remplacées les mélodies grégoriennes ; nous n'ajouterons plus qu'un mot au sujet du trop fameux plain-chant figuré, que nous avons signalé ailleurs à l'animadversion de nos lecteurs,...
Lire la suiteNous n'étendrons pas davantage ces considérations sur l'innovation liturgique sous le rapport littéraire, puisque nous devons traiter de la langue et du style de la Liturgie, dans une des divisions de cet ouvrage. Passons aux influences de la révolution...
Lire la suiteNous ne pouvions, ce nous semble, prouver par des faits plus expressifs que sous le point de vue de l'appréciation de la Liturgie antérieure, le sens poétique avait totalement manqué aux auteurs de l'innovation. Montrons maintenant qu'ils en ont été tout...
Lire la suiteUn seul trait du Bréviaire de Robinet fera voir clairement l'étrange distraction dans laquelle l'auteur était plongé. Dans l'office de saint Louis, roi de France, il s'était avisé de composer des répons et des antiennes dans lesquels il supposait que...
Lire la suiteSur la liste si peu nombreuse des réclamants contre la destruction de toutes les traditions liturgiques, nous inscrirons à la fin de ce chapitre, à côté de Languet et de Saint-Albin, Belzunce, évêque de Marseille ; de Fumel, évêque de Lodève ; les séminaires...
Lire la suiteAu reste, le nouveau missel n'avait pas su se défendre d'une contradiction éclatante avec les principes mêmes de sa rédaction. Dans la messe du jour de la Pentecôte, on n'avait pas osé remplacer, par un texte biblique, l'antique verset alléluiatique,...
Lire la suiteIl était plus aisé de condamner au feu la pièce qu'on vient de lire que de la réfuter. On ne pouvait refuser à son auteur le zèle de la foi, la connaissance de la matière ; on était obligé de convenir que c'était un homme dévoué à son archevêque, attaché...
Lire la suiteUn arrêt du Parlement de Paris, rendu le 8 juin, sur le réquisitoire de l'avocat général Gilbert de Voisins, condamnait la Lettre sur le nouveau bréviaire à être lacérée et brûlée, au pied du Grand-Escalier, par la main du bourreau. C'était sous de pareils...
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