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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Le vestiaire s’appelait autrefois la pouillerie

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Le vestiaire s’appelait autrefois la pouillerie

Lorsqu’un homme est admis dans un hôpital, il est inscrit sur le registre des entrées et il est conduit dans une salle qui, sauf de bien rares exceptions, est placée sous le vocable d’un saint. Là le malade est déshabillé par les infirmiers et couché...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - C’est là le groupe privilégié de la souffrance

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - C’est là le groupe privilégié de la souffrance

Des bulletins portant le nombre des lits vacants dans chaque hôpital sont remis aux chirurgiens et aux médecins qui donnent les consultations au bureau central ; ceux-ci savent donc toujours à combien de malades ils peuvent accorder l’hospitalité. Parmi...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - On y donne des consultations gratuites

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu -  On y donne des consultations gratuites

Le bureau central créé par un arrêté du conseil des hospices en date du 4 décembre 1801, fonctionne depuis le 22 mars 1802 au parvis Notre-Dame, dans le lourd bâtiment en pierres de taille qui, servant aujourd’hui d’annexe à l’Hôtel-Dieu, toujours insuffisant,...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Ces consultations sont fort appréciées par le peuple de Paris

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Ces consultations sont fort appréciées par le peuple de Paris

À Paris, les formalités sont nulles ; tant qu’il y a de la place dans les hôpitaux, on y reçoit les malades, on y exerce l’hospitalité dans la plus large acception du mot. Ce sont les hommes de science, médecins, chirurgiens, internes, qui seuls décident...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Divers hôpitaux

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Divers hôpitaux

Notre service hospitalier, bien que très fortement organisé, aurait besoin d’être augmenté dans des proportions sensibles, car il n’est plus en rapport avec la population qu’il a mission de secourir. En effet, Paris ne possède aujourd’hui que quinze hôpitaux,...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Le choléra à Paris

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Le choléra à Paris

Dix-huit ans plus tard, en 1832, de nouveaux devoirs, moins douloureux peut-être, mais plus terribles par la nature mystérieuse du mal qui les imposait, vinrent accabler le conseil des hospices. Ce n’étaient pas cette fois des armées ennemies qui envahissaient...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - On n’était pas à bout de peine

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - On n’était pas à bout de peine

Les blessés ennemis commençaient à affluer, à la suite des combats de Craonne, de Soissons, de Laon ; c’est pour eux que l’on gardait les places que la mort bien plutôt que la guérison faisait dans les hôpitaux, où l’on ne recevait plus guère les indigents...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Les abattoirs de Paris aménagés en hôpitaux de guerre

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Les abattoirs de Paris aménagés en hôpitaux de guerre

Dans ce siècle-ci, notre administration hospitalière a été mise deux fois à de rudes épreuves, et deux fois, à force d’énergie et de vaillance, elle a triomphé des difficultés excessives qu’elle avait à combattre. Au moment où, après une lutte qui avait...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - En cas d’épidémie on perdait rapidement la tête

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - En cas d’épidémie on perdait rapidement la tête

Pendant la Révolution, l’Hôtel-Dieu s’appelle "le grand hospice Humanité" ; c’est du moins le titre administratif qu’on lui donne. Mais le peuple de Paris ne se laisse pas prendre à ces désignations nouvelles, empreintes d’un esprit philosophique abstrait...

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Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Lorsque Tenon visita l’Hôtel-Dieu

Les Hôpitaux de Paris et le nouvel Hôtel-Dieu - Lorsque Tenon visita l’Hôtel-Dieu

Cependant c’était l’heure où la France entière semblait prise d’une tendresse universelle. Une des âmes les plus sèches qui ait existé, Jean-Jacques Rousseau, avait mis la sensibilité à la mode ; on avait le goût des plaisirs champêtres, on buvait du...

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