Si maintenant nous considérons la manière dont le nouveau bréviaire avait traité le culte des saints, on dirait que les
auteurs avaient pris à tâche d'enchérir sur les témérités de François de Harlay.
Déjà, nous avons vu combien le système de la prépondérance du dimanche sur toutes les fêtes occurrentes, à moins qu'elles ne
fussent du premier degré, système admis dans tous les nouveaux bréviaires et dans celui de Paris en particulier, enlevait de solennité au culte des saints ; combien, sous couleur de rétablir les
usages de l'antiquité, il était en contradiction avec l'Église romaine, à qui il appartient d'instruire les autres Églises par ses usages.
Encore on ne s'était pas borné à établir une règle aussi défavorable au culte des saints, le calendrier avait subi les plus
graves réductions. En janvier,on avait supprimé les octaves de saint Etienne, de saint Jean, des saints Innocents et même de sainte Geneviève, la fête de sainte Émérentienne et l'antique
Commémoration de sainte Agnès, au 28, qui est regardée comme un des plus précieux monuments liturgiques du calendrier grégorien,
En février, la Chaire de saint Pierre à Antioche avait disparu. En mars, saint Aubin n'avait plus qu'une simple mémoire. En
avril, la fête de saint Vital était retranchée, le culte de saint Georges et de saint Eutrope était réduit à une commémoration. En mai, on avait effacé les saints Alexandre, Éventien et Théodule,
sainte Domitille, la Translation de saint Nicolas, saint Urbain, les saints Cantius, Gantianus et Cantianilla. En. juin, on ne retrouvait plus les saints Basilide, Cyrinus, Nabor et Nazaire, les
saints Modeste et Crescence, les saints Marc et Marcellien, ni les octaves de saint Jean-Baptiste et de saint Pierre et saint Paul. En juillet, étaient effacés saint Thibault, les saints Processe
et Martinien saint Alexis, sainte Marguerite, sainte Praxède, les saints Abdon et Sennen. En août, avaient disparu sainte Suzanne, saint Cassien, saint Eusèbe, saint Agapet, les saints Timothée
et Apollinaire, et les saints Félix et Adaucte. Le mois de septembre ne présentait d'autre suppression que celle de saint Nicomède. Saint Marc et saint Callixte, papes, avaient été retranchés, au
mois d'octobre. En novembre, on avait ôté les Quatre Couronnés, saint Théodore, l'octave de saint Martin, saint Mennas, sainte Félicité, sainte Geneviève du Miracle des Ardents ; saint Martin,
pape, était réduit à une simple commémoration. Décembre, enfin, avait vu disparaître sainte Barbe et l'octave de la Conception ; saint Thomas de Cantorbéry était transféré au mois de juillet, et
saint Sylvestre réduit à une simple mémoire.
L'Église de Paris, comme l'on voit, en acceptant le nouveau bréviaire, se privait, de gaieté de cœur, d'un grand nombre de
protecteurs, et il est difficile d'exprimer quel avantage elle pouvait tirer d'une si étrange épuration du calendrier. Nous allons examiner en détail quelques-unes de ces suppressions, mais nous
ne pouvons dès à présent nous empêcher de signaler comme déplorable le système d'après lequel on privait l'Eglise de Paris de deux fêtes de sa glorieuse patronne. En outre, parmi ces divers
saints sacrifiés à l'antipathie janséniste, si la plupart, tirant leur origine du calendrier romain, rappelaient d'une manière trop expresse la source à laquelle l'Église de Paris, durant neuf
siècles, avait puisé sa Liturgie, plusieurs de ces saints qui appartiennent exclusivement à la France, comme saint Aubin, saint Eutrope, saint Thibault, n'en avaient pas moins été honteusement
expulsés. On remarquait aussi que le nouveau calendrier ne renfermait presque aucun des saints nouvellement canonisés, quoiqu'ils eussent bien autant de droit aux hommages de l'Église de Paris
que ceux des premiers siècles. Mais cette fécondité de l'épouse du Christ qui lui fait produire en chaque siècle des fils dignes de sa jeunesse, démentait trop fortement le système de la secte
sur la vieillesse de l'Église, et pouvait devenir gênante dans ses conséquences.
Un bouleversement notable avait eu lieu dans le calendrier des mois de mars et d'avril. On cherchait en vain à leurs jours
propres saint Thomas d'Aquin, saint Grégoire le Grand, saint Joseph, saint Joachim, saint Benoît, sainte Marie Égyptienne, saint Léon le Grand. Le désir de donner plus de tristesse au temps du
carême, avait porté nos réformateurs à les rejeter à d'autres jours, choisis presque toujours arbitrairement. Par là les églises, les corporations placées sous le patronage de ces saints, se
voyaient frustrées de leurs traditions les plus chères ; les fidèles, qui ne pouvaient rien comprendre aux motifs d'une semblable mesure, se trouvaient pareillement dans l'embarras pour connaître
le jour auquel ils célébreraient désormais les saints qui étaient l'objet de leur dévotion particulière. S'ils sortaient du diocèse de Paris pour aller dans un autre, ils
retrouvaient leurs saints bien-aimés aux mêmes jours auxquels ils avaient eu coutume de les célébrer : comment expliqueraient-ils ces variations inouïes jusqu'alors ? Et plût à Dieu que les
nouvelles Liturgies n'eussent contribué, que par ce seul endroit, à dépopulariser en France les choses de la religion !
Si maintenant nous examinons la manière dont les offices des saints en eux-mêmes avaient été traités dans le nouveau bréviaire,
nous sommes bien obligé de dire qu'on avait encore enchéri sur le Bréviaire de Harlay. La censure de la Sorbonne, contre le Bréviaire d'Orléans de 1548, était applicable de mot à mot aux nouveaux
offices. Des fêtes de neuf Leçons avaient été réduites à trois, et des fêtes de trois Leçons n'avaient plus qu'une simple mémoire. La plupart du temps, on avait retranché les miracles des saints.
Plusieurs traits importants pour l'édification avaient été élagués, comme le récit des jeûnes, des macérations des saints, les fondations et dotations d'églises faites par eux. On avait supprimé
leurs hymnes propres, leurs antiennes, etc. Ainsi parlait l'Université de Paris, en 1548, et elle ajoutait que ces changements étaient une chose imprudente, téméraire, scandaleuse, et qui
donnait même quelque lieu de soupçonner l'envie de favoriser les hérétiques.
Il faudrait un volume entier pour relever toutes les intentions qui ont présidé à la rédaction du corps des légendes des saints,
dans le nouveau bréviaire. C'est là que l'art des réticences est porté à la perfection, que la nouvelle critique s'exerce dans toute son audace et aussi dans toute sa sécheresse. Nous aurons le
loisir d'y revenir jour par jour, dans l'explication générale de l'office divin ; mais nous ne pouvons mieux qualifier toutes ces légendes, qu'en disant qu'elles forment, pour l'esprit et
la couleur, un abrégé exact des Vies des saints, malheureusement trop répandues, de l'acolyte Mésenguy, qui n'avait ainsi qu'à mettre en latin, en le rétrécissant encore, son propre
ouvrage.
La lettre pastorale nous dit qu'on a évité tout ce qui pourrait nourrir, à l'égard des saints, une stérile
admiration, et comme nous l'avons remarqué à ce propos, cette crainte a été cause que l'on a gardé le silence sur les stigmates de saint François. C'est sans doute dans une semblable intention
que, dans la vie du même patriarche, on avait retranché les célèbres paroles par lesquelles il exhorte, en mourant, ses disciples à garder la pauvreté, la patience et la foi de la sainte
Église romaine. On ne saurait croire jusqu'à quel degré cette manie d'effacer, de cacher, de dissimuler les traditions sur les saints, était parvenue. Quel homme, par exemple, en lisant ces
paroles au sujet de la mère de saint Dominique, hunc mater dum utero gestaret quœdam vidisse per quietem traditur, penserait que cette illustre femme vit un chien tenant dans sa gueule
un flambeau, pour embraser le monde ? Tout ce magnifique symbolisme est rendu par nos faiseurs dans ce seul mot : Quœdam. Nous citons ce trait entre mille.
Réunissez deux clercs, dont l'un récite le Bréviaire de Vintimille et l'autre le Bréviaire romain : supposons
qu'ils ne connaissent l'un et l'autre la vie des saints que par les leçons de leur bréviaire. Qu'ils aient maintenant l'un et l'autre à s'expliquer du haut de la chaire sur les actions, les
vertus, les miracles, les attributs des saints. Le premier ne pourra rendre raison que d'un petit nombre de faits et de traditions ; le second sera à même de dispenser
avec munificence un trésor de lumière et d'édification. Quand la foi est vive dans un pays, le culte des saints, la connaissance de leurs actions et des merveilles que Dieu a opérées en eux, y
sont populaires ; quand cette dévotion diminue, la vraie piété s'éteint, le rationalisme envahit tout. Or, c'est dans les églises que le culte des saints se nourrit et se
réchauffe ; c'est dans les hymnes et les antiennes séculaires qu'il se conserve. Gardée à la fois par les chants de l'autel et les vitraux du sanctuaire, la légende sacrée ne s'efface pas et
protège la foi des générations.
Quand donc reverrons-nous les merveilles des siècles catholiques ? Sera-ce quand nous aurons beaucoup de cathédrales rebâties
dans le style du XIIIe siècle, beaucoup de pastiches des arts du moyen âge ? Non, ce sera quand nous aurons réappris la vie des saints, quand nous comprendrons leurs héroïques vertus, quand nos
cœurs auront retrouvé cette foi naïve qui faisait qu'on était en repos sur ses besoins spirituels et corporels, quand on avait prié devant la châsse qui renfermait les ossements de ces amis de
Dieu. Ces temps doivent-ils revenir pour nous ? Nous ne savons ; mais nous tenons pour assuré que si l'antique vénération des saints doit de nouveau consoler notre patrie, les légendes du
Bréviaire de Paris auront alors disparu du livre des prières du prêtre.
Quant à la manière dont le culte de la sainte Vierge, ce culte que les théologiens, à cause de son excellence propre, nomment
hyperdulie, avait été traité dans le nouveau bréviaire, nous n'en pouvons parler qu'avec un profond sentiment de tristesse. On peut dire que c'est là la grande plaie des nouveaux bréviaires, et
les gens les plus bienveillants, ou, si l'on veut, les mieux prévenus, sont bien obligés de convenir que les rédacteurs ont eu l'intention expresse de diminuer les manifestations de la piété
catholique envers la Mère de Dieu. Nous avons raconté les attentats sanctionnés par François de Harlay, dans le bréviaire de 1680 ; mais du moins, dans ce livre, on avait gardé des mesures : on
n'en gardait plus dans le Bréviaire de 1736. Voici d'abord comment avaient été déshonorées les hymnes les plus chères à la piété catholique.
Commençons par l'Ave, maris Stella. Cet admirable cantique qui fait la joie et la consolation de l'Église, exprime avec
assurance le pouvoir de Celle qui n'a besoin que de demander à son Fils pour obtenir, et qui nous sauve par sa prière, comme Lui par sa miséricorde. L'Église demande ses besoins à Marie, parce
qu'elle peut les soulager, en les exposant maternellement au Sauveur :
Sumat per te preces
Qui pro nobis natus
Tulit esse tuus.
Jaloux de ce pouvoir de recommandation accordé à une pure créature, le farouche jansénisme avait en horreur cette hymne si
tendre. Chargé de la réformer, il se livre à cette oeuvre avec joie ; il se gardera bien de la remplacer par une autre. Il aime mieux la corriger, la rendre chrétienne, faire la leçon à l'Église
romaine et à toutes celles qui la suivent, insulter enfin l'idolâtrie papiste dans ses derniers et plus sacrés retranchements ; pour démentir les expressions de la piété catholique, le poète, d'ordinaire si exact sur le mètre, n'avait pas été exigeant cette fois, les
fautes contre la quantité abondent dans ces strophes de nouvelle et janséniste fabrique. Mais nous devons dire la
vérité et faire connaître les hommes qui disposaient alors de la Liturgie.
Passons maintenant à une autre hymne de la sainte Vierge, non moins maltraitée par Coffin. C'est celle où l'Église appelle Marie
la Mère de la grâce et de la miséricorde, et demande pour ses enfants la faveur d'être reçus par Elle au moment de leur mort.
La doxologie est, à peu de chose près, la même. Ce titre de Mère de miséricorde, que l'amour et la reconnaissance du peuple
fidèle ont donné à Marie, était encore effacé de l'hymne de compiles : Virgo, Dei Genitrix. La troisième strophe ainsi conçue :
Te Matrem pietatis
Opem te flagitat orbis :
Subvenias famulis,
O benedicta, tuis ;
avait été totalement supprimée et remplacée par celle-ci :
Suscipe quos pia plebs
Tibi pendere certat honores :
Annue, sollicita
Quant prece poscit opem.
Si on n'avait pas osé supprimer les antiennes à la sainte Vierge : Alma Redemptoris ; — Ave, Regina cœlorum ; — Regina cœli,
lœtare, et Salve, Regina ; on avait du moins trouvé moyen de les priver de leurs Versets si populaires et si vénérables, Angelus Domini ; Post Partum, Virgo ; — Dignare me laudare te ; —
Gaude et lœtare, et même Ora pro nobis, sancta Dei Genitrix. Ces Versets avaient fait place à des phrases bibliques dont la plupart n'offraient qu'un sens accommodatice et très
froid.
Pour ce qui est des fêtes mêmes de la sainte Vierge, on était à même de voir, à leur occasion, le plan de la secte se développer
sur une plus grande échelle. D'abord, l'office du jour de la Circoncision, octave de Noël, qui jusqu'alors avait été en grande partie employé à célébrer la divine Maternité de Marie, avait perdu
les dernières traces de cette coutume grégorienne à laquelle le Bréviaire de Harlay lui-même si peu favorable au culte de la sainte Vierge, n'avait pas cru pouvoir déroger. Non seulement les
fameuses antiennes O admirabile commercium — Quando natus es — Rubum quem viderat — Germinavit— Ecce Maria — Mirabile mysterium — Magnum hœreditatis mysterium, qui sont au nombre des
plus précieux monuments de la foi de l'Église au mystère de l'Incarnation, ayant été composées dans l'Eglise romaine à l'époque des conciles d'Éphèse et de Chalcédoine, avaient disparu jusqu'à la
dernière syllabe ; mais, parmi les textes des saintes Écritures qu'on avait mis à la place, rien ne rappelait la mémoire de l'antique solennité qui consacrait depuis tant de siècles le jour des
Calendes de Janvier au culte de la Mère de Dieu.
Le deuxième jour de février, quarantième du divin Enfantement, continuait d'être désigné sous ce nom : Présentation
du Seigneur et Purification de la sainte Vierge. Cette hardiesse, qui avait passé du Bréviaire de Cluny dans la plupart des autres bréviaires français,
de 1680 à 1736, se faisait aussi remarquer dans le nouveau calendrier, Du moins, la désignation de cette fête était encore remarquable par le nom de Marie, qui continuait toujours d'être
exclu du titre de la fête de l’Annonciation. C'était toujours Annunciatio Dominica, l’Annonciation de Notre-Seigneur, que bientôt, dans d'autres Diocèses, on appela
l'Annonciation et l'Incarnation de Notre Seigneur, ou l'Annonciation de l'Incarnation de Notre-Seigneur. La France presque tout entière
était donc destinée à perdre cette magnifique solennité de la Mère de Dieu, qui lui fut si chère à ce titre dans le passé, et que l'Église romaine regarde encore et regardera toujours
comme le fondement de la gloire de Celle qui, seule, a détruit toutes les hérésies dans le monde entier.
Au reste, un grand nombre de fidèles de France, ceux qui sont membres des pieuses associations que le Siège
apostolique a enrichies de ses faveurs, n'ont point cessé de demeurer en union avec les autres Églises, dans la solennité du 25 Mars. Ils sont avertis par l'annonce des indulgences et par de
pieux exercices, que cette fête est une fête de Marie. Quand donc elle aura été rendue à notre patrie, cette chère solennité, ces pieuses traditions formeront la vénérable chaîne à l'aide de
laquelle on pourra prouver que les vœux et les hommages offerts à la libératrice du genre humain, au jour même où le Verbe s'est fait chair, n'ont point souffert, en France, une interruption
totale.
L'office de la fête de l'Assomption avait été privé de ses glorieuses antiennes si expressives : Assumpta est Maria in
cœliim — Maria Virgo assumpta est — Exaltata est sancta Dei Genitrix. Les voûtes de Notre-Dame, qui les avaient jusqu'alors répétées, même sous l'épiscopat des Harlay et des Noailles,
allaient être condamnées à les oublier pour de longues années. On n'entendrait plus lire non plus ces beaux sermons de saint Jean Damascène, déjà mutilés par François de Harlay,qui célébrait avec
tant d'amour et de magnificence le triomphe de la Vierge bénie.
La Nativité de Marie avait perdu le brillant cortège de ces imposantes et mélodieuses antiennes, dans lesquelles la voix de la
sainte Église retentit avec tant d'éclat pour annoncer aux peuples l'aurore du soleil de justice : Nativitas gloriosœ — Nativitas est hodie — Regali ex progenie— Corde et animo — Christo
canamus—Cum jucunditate — Nativitas tua, Dei Genitrix Virgo, etc., etc. Des textes de l'Écriture, amenés la plupart dans un sens accommodatice et vides du nom de Marie, avaient remplacé tout
cet ensemble de chants séculaires.
Et la fête de la Conception, quel soin n'avait-on pas pris de la dégrader ? D'abord, on l'avait maintenue au rang de solennel
mineur, auquel l’avait abaissée François de Harlay ; mais, de plus, on avait osé supprimer l'octave de cette grande fête ; cette octave que Louis XIV avait demandée, pour la France, à Clément IX,
que, depuis, Innocent XII avait étendue au monde entier, l'Église de Paris ne la célébrerait plus, et elle entraînerait dans cette lamentable défection le plus grand nombre des Églises du royaume
!
Il nous semble que nous en avons dit assez pour dévoiler l'intention expresse qu'avaient eue les auteurs du nouveau bréviaire de
diminuer le culte de la sainte Vierge.
Montrons maintenant ce qu'ils avaient fait contre l'autorité du Siège apostolique.
DOM
GUÉRANGER INSTITUTIONS LITURGIQUES
: CHAPITRE XIX : SUITE DE L'HISTOIRE DE LA LITURGIE, DURANT LA
PREMIERE MOITIÉ DU XVIIIe SIÈCLE. — PROJETS DE BREVIAIRE A PRIORI. — GRANCOLAS, FOINARD. — BREVIAIRES DE SENS, AUXERRE, ROUEN, ORLÉANS, LYON, ETC. — BRÉVIAIRE ET MISSEL DE PARIS, DU CARDINAL DE
NOAILLES. — BREVIAIRE ET MISSEL DE PARIS, DE L'ARCHEVÊQUE VINTIMILLE. — AUTEURS DE CETTE LITURGIE. VIGIER. MÉSENGUY. COFFIN. — SYSTEME SUIVI DANS LES LIVRES DE VINTIMILLE. — RÉCLAMATIONS DU
CLERGÉ. — VIOLENCES DU PARLEMENT DE PARIS. — TRIOMPHE DE LA LITURGIE DE VINTIMILLE.
Les heures de la Vierge : complainte du Lévite
exilé