Les céréales viennent relativement en petite quantité par la Seine ; 1866 en a vu arriver 157,250,005 kilogrammes, sur lesquels les blés et farines comptent pour 82,556,269. L’Yonne et ses affluens en amènent la plus grande partie. C’est encore les chemins...
Lire la suiteLes mêmes rivières, les mêmes canaux qui nous amènent le bois à brûler nous apportent également le charbon. Cependant le charbon n’est pas si pesant qu’il ne puisse prendre la voie des chemins de fer sans que le prix en soit augmenté. Aussi la Seine a-t-elle...
Lire la suiteSauf des exceptions tellement minimes qu’il est inutile d’en parler, tout le bois qui se consomme à Paris, bois à brûler et bois à œuvrer, arrive par la Seine en bûches, en perches, en grume et parfois même en poutres débitées. C’est une industrie bien...
Lire la suiteA part le canal Saint-Martin, qui s’y jette au bassin de l’Arsenal par un des anciens fossés de la Bastille, la Seine ne reçoit à Paris même qu’un seul affluent : c’est la Bièvre, triste ruisseau qui tombe en amont du pont d’Austerlitz, un peu au-dessus...
Lire la suiteParis possède aujourd’hui vingt-six ponts et même vingt-sept, si l’on compte le pont Saint-Charles, qui sert aux communications des deux rives de l’Hôtel-Dieu. Sous le gouvernement de Louis-Philippe, la mode était aux ponts suspendus ; on en fit beaucoup...
Lire la suitePrince mort en soldat à cause de la France, Âme certes élue, Fier jeune homme si pur tombé plein d'espérance, Je t'aime et te salue ! Ce monde est si mauvais, notre pauvre patrie Va sous tant de ténèbres, Vaisseau désemparé dont l'équipage crie Avec des...
Lire la suiteCe jour-là Jésus étant sorti de la maison, s’assit auprès de la mer. Et il assembla autour de lui une grande foule de peuple ; c’est pourquoi il monta dans une barque où il s’assit, tout le peuple se tenant sur le rivage ; et il leur dit beaucoup de choses...
Lire la suiteDans ce temps-là, on n’avait guère de respect pour les besoins de la navigation, qui cependant était plus considérable qu’aujourd’hui, car le pont était à peine achevé qu’on élevait sur la seconde arche une pompe qu’on appela la Samaritaine, et qui avait...
Lire la suiteIl faut aussi parler des ponts, car ils appartiennent à la Seine, dont ils joignent les deux rives et dont ils ont singulièrement modifié la physionomie. Dans le principe, quand toute la ville était la Cité, il n’y en eut que deux, le Grand et le Petit,...
Lire la suiteLa topographie de la Seine a souvent changé ; je ne parle pas seulement de ses berges, où les quais, commencés en 1312 par Philippe le Bel, n’ont été achevés que de nos jours. La vallée de la Misère est devenue la place du Châtelet, la promenade plantée...
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